30 Rock
114 – L'insulte
Transcript by Maluzo - Posted on HypnoSeries
© NBC.
Bureau de Jack
Jack : Entre, Tracy.
Tracy : C'est à propos de cette interne rouquine ? C'est elle qui m'a demandé de la sortir.
Jack : Non, non. Je voulais t'inviter à te joindre à moi pour ce tournoi de golf de charité que Don Geiss organise dans son country club à Saybrook.
Tracy : Je n'ai pas compris la moitié des mots de cette phrase.
Jack : Viendrais-tu avec moi à une grande fête dans le Connecticut pour rencontrer Don Geiss ?
Tracy : Est-ce que c'est l'homo du projet Runway ? Non. C'est le PDG de cette compagnie. Le grand patron.
Tracy : Le mec de mes chèques ?
Jack : Le mec de tes chèques. C'est important que tu le connaisses.
Tracy : D'accord. Merci de m'inviter.
Liz : Fausse alerte. En fait, c'est elle qui lui a demandé de la sortir.
Tracy : Je te verrai dans le Connecticut, Jackie D.
Liz : De quoi parle-t'il ?
Jack : Je l'ai invité à se joindre à moi à un tournoi de golf de GE dans le Connecticut.
Liz : Courtney Love n'est pas disponible ?
Jack : Liz, tous les vice-présidents seront là pour jouer avec Don Geiss, mon partenaire sera Tracy Jordan, la star préférée de ses petits enfants. Geiss nous choisira, et c'est une bonne occasion, parce qu'être dans un groupe avec cet homme peut changer votre vie.
Liz : Vous voulez bien reformuler ça.
Jack : Jouer au golf avec Geiss signifie passer 4H avec lui, un homme avec qui on obtient en général 20 minutes.
Liz : Qui est Geiss déjà, le chauve ?
Jack : Non. C'est lui.
Liz : D'où est-ce que ça vient ?
Jack : Je l'ai peint moi-même.
Liz : C'est vraiment bien.
Jack : Vous en voulez un ? Considérez que c'est fait.
Liz : Merci.
Jack : Carrément le meilleur.
Générique
Salle des scénaristes
Liz : Quelqu'un a vu Condoleeza rencontrer la presse hier ? Elle a toujours l'air terrifiée. Genre : Le Président a un plan pour l'Iran, et nous sommes dévoués à ce plan. Frank, réveille-toi. Tu n'es pas autorisé à dormir pendant la réunion d'actualité.
Franck : Je suis épuisé. Je suis resté éveillé toute la nuit à regarder des femmes stylistes faire un marathon.
-Oui, moi aussi. Au départ, j'ai détesté ça. Puis j'ai apprécié.
Franck : Et puis j'ai détesté ça à nouveau. Ensuite ça m'a excité, et je me suis endormi.
Liz : Concentre-toi, on a beaucoup de boulot. Lutz, pas pendant qu'on travaille !
-Ay, pero ay Dios mio!
Liz : Désolée Theresa. Quelque chose à propos des élections du semestre ?
Lutz : Pourquoi pas mon sketch "Danse avec un chômeur" ?
Liz : Je ne l'ai pas aimé il y a deux semaines quand il s'appelait "le prochain top Américain d'un chômeur", et je ne l'ai pas aimé il y a un mois, quand il s'appelait "l'oeil du chômeur pour un gars droit".
Lutz : Un marché ou pas de chômeurs ?
Liz : Lutz, pourquoi pas approcher ton job avec la même créativité et la même excitation que tu as pour les buffets à volonté ?
***
Pete : Le van qui vous emmène dans le Connecticut partira à midi. Et dès que vous arriverez au terrain de golf, vous travaillerez par deux. Donc : Tim et Shyla, Amy et Becca, Kenneth et Grace, et Eric et Pat. Amusez-vous. Ne vous saoulez pas. C'est parti.
Kenneth : Monsieur Hornberger.
Pete : Oui ?
Kenneth : Je ne peux pas travailler avec Grace.
Pete : Pourquoi ?
Kenenth : On a un passé. Un passé romantique.
«’Grace, c'était un plaisir de parler avec toi. Grace Park ! Tu sais que ça ne peut pas arriver. Nous sommes des grooms. Je ne veux pas déshonorer le paon.’
Pete : Kenneth, si tu t'inquiètes de déshonorer NBC, C'est trop tard.
Connecticut
Kenneth : Ecoute, Grace, c'est terriblement gênant pour nous deux, mais essayons d'être professionnels. Tes boucles d'oreilles en paons sont mignonnes. Nom de dieu, Grace, Je ne me reconnais pas quand je suis avec toi. Bonjour, messieurs. Bienvenue au 9 ème tournoi de golf annuel contre le diabète.
Jack : Don Geiss est arrivé ?
Kenneth : Non, monsieur, si vous voulez, nous pouvons trouver un signal pour vous faire savoir qu'il est arrivé. Comme...
Jack : Ça ne sera pas nécessaire.
Kenneth : Je le ferai de toutes façons.
Studio
Pete : Ce que vous avez écrit hier soir est plutôt bon.
Liz : Merci. C'était comme arracher des dents. Ils sont tellement paresseux parfois. Surtout Lutz.
Pete : C'est une bonne idée de les fouetter. C'est très malin. Bref, quand Dennis Hastert pète, on fait ça en direct, ou on l'enregistre à l'avance ?
Liz : En direct. Il faut que ce soit en direct pour le timing.
Pete : C'est ce que je me disais.
Liz : Regardez moi ça.
Greta : Ils vous aiment bien. Ils sont très doués pour sentir la solitude débilitante d'une personne. Vous devriez peut être en adopter un.
Liz : Je peux pas. Je suis allergique à tout ce qui est chaleureux et adorable. J'en suis malade.
Lutz : Je bosse, et elle me rabaisse devant tout le monde. Je m'en fous qu'elle soit le patron, Liz est une salope...
Greta : Avorton !
Liz : Quoi ?
Greta : Ce chaton, c'est un avorton ! Je vais l'appeler fausse-couche. Tu es un sacré petit avorton ! Viens fausse-couche.
Connecticut
-Jack, comment allez-vous ?
Jack : Ted, Amanda, content de vous revoir.
-Bonjour.
Jack : Voici Tracy Jordan. Ted est à la tête de notre division d'aviation commerciale.
Tracy : Vous devriez me faire essayer un de vos hélicoptères.
Ted : Absolument. Je serais heureux d'arranger un vol pour vous.
Tracy : Non, je ne veux pas le prendre. Je veux le faire exploser et m'en éloigner en courant au ralenti.
Ted : C'est un plaisir de vous avoir rencontrés.
Tracy : Evidemment. Je suis délicieux.
Jack : Vous vous en sortez bien. Tout le monde vous aime.
Studio
Franck : Dans la saison cinq, quand Delta les exécute... C'est splendide.
Liz : Il faut qu'on vire Lutz.
Pete : Pourquoi, qu'est-ce qu'il s'est passé ?
Liz : Il m'a appelée par le pire nom qu'il soit.
Pete : Comment il t'a appelée ?
Liz : Je ne vais pas le répéter. Pour te dire à quel point je le déteste.
Pete : "La grosse" ?
Liz : Non.
Franck : "Pute" ?
Liz : Non.
Pete : "Garce monstrueuse". "Face de hache".
Liz : Non ! Un qui rime avec le nom de ton album préféré de Todd Rundgren.
Franck : Ça rime avec l'hermite de la cavité du vison ?
Liz : Non!
Pete : Bon sang.
Franck : Tu sais, il a probablement lâché un peu la vapeur.
Pete : Tu ne peux pas virer un gars pour une injure.
Liz : Je ne suis pas contrariée pour une injure. J'adore les jurons. J'aime ça. Mais ce mot n'est pas acceptable, parce que tu ne peux pas le renvoyer à un mec. Il n'y a pas d'équivalent pour un mec.
Pete : Pourquoi ne pas en inventer un et l'appeler comme ça ? Comme..."baubia". "Fungdark".
Liz : Non, sérieusement, les gars.
Pete : Tu es dans la réaction, là. Tu as besoin de prendre quelques heures et de te calmer.
Liz : Ne me dis pas de me calmer, "fungdark".
Pete : Tu as raison. Ça ne fonctionne pas.
Franck : Je pense que Liz a raison.
Lutz a complètement relâché la pression depuis que sa grand mère est morte.
Liz : Quoi ? Pourquoi vous ne me l'avez pas dit ?
Franck :Je croyais que tu savais et que tu étais une... tu sais, le mot que Lutz a employé.
Liz : Attends, tu veux dire que parfois je suis comme ça ? Mon dieu, je le suis. Je suis une complète...
Greta : J'ai perdu mon chaton. Quelqu'un a vu mon avorton ?
Connecticut
-Amener Tracy Jordan était un procédé habile, Jack. C'est le succés de la soirée.
Jack : C'est vrai, mon ami. Demain, je vais être dans une soirée intense avec trois autres hommes. Et l'un d'entre eux sera Don Geiss, et il aura toute mon attention. Et tu ne feras que t'asseoir et regarder. Excuse-moi.
Tracy : L'armée a merdé avec le soleil. Voilà pourquoi je garde mes parties couvertes. Une fois que ce truc vous rentre dans la peau, vous êtes foutu.
Jack : Voulez-vous nous excuser un moment ?
Tracy : Qu'est-ce qu'il se passe ?
Jack : C'est le moment de jouer.
Don : Jack, sacré pourri ! Ce gars rajeunit à chaque fois que je le vois !
Jack : Non, c'est plutôt vous. Coiffé comme un viking. Dieu vous bénisse. Don, je voudrais vous présenter Tracy Jordan.
Don : Tracy Jordan. C'est sensationnel. Mes petits enfants adorent vos films. Merci beaucoup d'être ici et de soutenir la recherche sur le diabète.
Tracy : Je vous comprends. Le sucre a fait des dégâtts dans ma famille, aussi.
Jack : Alors, comment va votre jeu ?
Don : Vous découvrirez ça demain. Ces gars passent tellement de temps dans le sable qu'on devrait les appeler "membrés".
Tracy : C'est humoristique. Pourquoi vous n'embauchez pas plus de gens noirs ici ?
Don : Je vous demande pardon ?
Tracy : pourquoi il n'y a pas plus de blacks ici ? Les blacks peuvent pas être des têtes pensantes ?
Don : Non, en fait nous avons eu une récompense pour la diversité de nos programmes.
Tracy : Alors pourquoi n'y a-t-il que moi et Carlton ici ?
Jack : Tracy fait référence à Carlton, le frère très conventionnel dans "le prince de Bel Air", de 1990 à 1996. Sur NBC. On s'amuse ou quoi ?
Don : Mon associé s'appelle Francis Callier. Il est avocat.Excusez-moi.
***
Tracy : A quelle heure on donne le coup d'envoi du golf demain ?
Jack : Ça n'a plus d'importance, Tracy. On est plus dans le groupe de Geiss, grâce à toi.
Tracy : Quoi ? Je n'y peux rien s'il est devenu fou. Tu me connais. Je dis ce qui me passe par la tête, Jack.
Jack : Non, pas ici. Je voulais que tu divertisses ces gens, pas que tu les humilies en public.
Tracy : Je suis supposé être le noir rigolo qui dit des trucs rigolos.
Jack : Non, Je voulais que tu parles des progrès médicaux stupéfiants.
Tracy : D'accord. Barman, pouvez-vous m'apporter un melon Mustang et un sac des chips du barbecue ? Parce qu'apparemment, je suis ici pour être un stéréotype.
Jack :Tu peux baisser d'un ton, s'il te plait ? Tu te fais honte à toi même.
Tracy : Non, ce n'est pas à moi que je fais honte, mais plutôt à toi. Et devine quoi, Jack ? Je ne fais que commencer. Fiston, je ne plaisantais pas à propos des chips.
Studio
Pete : Qu'est-ce que tu comptes faire pour Lutz ? Je dois l'appeler dans mon bureau ?
Liz : Je crois qu'on devrait attendre.
Pete : Vraiment ? D'accord. Qu'est-ce que c'est ?
Liz : J'ai fais quelque chose pour les auteurs.
Pete : De la viande !
Liz : Non, ce sont deux douzaines de petits gâteaux avec des barres de mini-bonbons fondues au milieu.
Pete : J'y suis. Tu essayes d'être gentille à cause de ce qu'a dit Lutz.
Liz : Non, je n'essaye pas d'être gentille. Je suis gentille. Je suis une gentille personne, espèce de grande tige chauve... Je vais faire un effort. Je vais essayer et être gentille.
Connecticut
Tracy : J'espère que monsieur Jack va bien jouer aujourd'hui. Sinon il va me botter le cul quand on rentrera. N'est-ce pas, monsieur Jack ?
Jack : Vous savez, Ted, Kenneth est l'un de nos grooms les plus prometteurs. Il sait tout ce qu'il y a à savoir sur le business.
Kenneth : J'ai étudié la théorie de la télé au collège biblique dans le Kentucky.
Tracy : J'ai étudié le poulet frit à l'école de la rue. C'est pas vrai, monsieur Jack ?
Jack :T'es encore là ?
Tracy : Je suis ridicule. Je suis black ! Je peux même être laid. Mais bon dieu... Je suis là ! Je suis là ! Et rien ne peut m'arrêter à part eux !
Studio
Toofer : Désolé. Je croyais l'avoir éteins.
Liz : Non, Cooper, réponds. On n'est pas dans le bunker d'Hitler. Ça voudrait dire que je suis Hitler.
Toofer : Quoi ?
Liz : C'est le nouveau moi. Vous aimez le nouveau moi ? Avant que vous ne répondiez : super balles !
-Excellent !
Liz : Quel patron amusant vous avez, hein ?
Connecticut
Tracy : Vous voulez que je fasse des claquettes pour vous et vos amis, monsieur Jack ? Ou je pourrais courir pendant que vous me jetez des pierres.
Jack : Kenneth, joue ce trou pour moi, tu veux ? Viens avec moi. Qu'est-ce que tu fais ?
Tracy : Je me venge. De la façon dont tu m'as traité. Tu m'as utilisé.
Jack : Bon dieu, c'est comme sortir avec Katie Couric encore et encore. Je t'ai pas utilisé. J'ai créé une situation bénéfique pour nous deux, et tu l'as foutue en l'air.
Tracy : Si tu ne supportes pas Tracy Jordan, n'invite pas Tracy Jordan. C'est ce que je fais. Je lache de grosses vérités. Je me fous de Don Geiss ! Je suis une star de ciné !
Jack : Non, non. Tu l'étais. Tu n'as pas fait de films depuis deux ans, Et tu sais pourquoi ? A cause de tes grosses vérités. Rappelle-moi, Tracy, qu'as-tu dit au président de Warner Brothers ?
Tracy : Qu'il pouvait me sucer.
Jack : Et au président de Paramount ?
Tracy : D'embrasser mon délicieux cul.
Jack : Et comment ça marche pour toi ? Ouais, c'est ce que je pensais. Pourquoi tu ne joues pas le jeu avec moi ? Que tu le veuilles ou non, les gars comme Geiss s'occupent de tous, y compris des studios de ciné. On pourrait jouer au golf avec lui en ce moment au lieu de Ted, qui est connu pour utiliser la carte de crédit de l'entreprise dans un club homo. Désolé, Amanda, tu l'aurais su de toutes façons.
Salle des scénaristes
Pete : Où sont les autres ?
Liz : Ils avaient des problèmes personnels à régler.
« Vas-y. Si je pensais avoir laissé ma cafetière allumée, moi non plus je ne pourrais pas me concentrer. Non, je comprends. Tout le monde devrait voir "Mama Mia" avant que ça ne s'arrête. Quel genre de problème de sinus ? J'ai juste un drôle de problème aux sinus. D'accord, rentre. »
Ensuite j'ai envoyé Lutz et Frank nous chercher des pizzas, et ils ne sont jamais revenus.
Pete : Donc tu finis par ré-écrire toute seule ? Ce n'est pas normal.
Liz : Oui, mais au moins je sais que personne ne me déteste aujourd'hui.
Pete : Tu crois que Jack Donaghy s'assied là-haut et s'inquiète de ce que les gens disent de lui ?
Liz : C'est différent pour les femmes.
Pete : Je ne crois pas. Parfois les gens détestent leur patron. Et alors. Tu dois prendre ta défense. Sinon... Ils prendront l'avantage sur toi. Je peux t'emprunter 60 dollars ? Je vais rejoindre Frank et Lutz au "Scores".
Connecticut
Discours de Don Geiss
-Donc j'ai fondé la fondation Don Geiss pour la recherche sur le diabète, pour laquelle vous êtes tous ici ce soir. Gwen et moi, nous espérons que vous serez généreux avec vos chéquiers, comme vous l'avez été avec vos scores sur le terrain aujourd'hui. Merci.
Jack : Qu'est-ce qu'il fait ?
Tracy : Excusez-moi ! Je sais qu'on ne m'a rien demandé, mais j'aimerais partager mon expérience avec vous. Quand ma fille Shahita est née, elle avait des bras et des jambes potelés, et une grosse tête sans cheveux. Elle ressemblait à mon oncle Rupert en couche. Quand elle a eu 5 ans, elle faisait 40 Kg. Je veux dire, elle pouvait manger ! Mais ensuite, vers ses 8 ans... Je me souviens que c'était Pâques. On est restés éveillés toute la nuit à regarder des films sur la bible, et à manger des sucreries. Je me souviens du lendemain, le dimanche de Pâques, Elle a vomi chez le concessionnaire Jaguar. Elle était vraiment malade. Je l'ai portée jusqu'au "St Luke Roosevelt". Le médecin a dit qu'elle avait du diabète. J'étais très contrarié, je pensais que c'était à cause de mon ignorance sur la nutrition. J'ai promis à Sha cette nuit là... que j'allais consacrer tous mes efforts à élever les consciences... et à trouver une cure. Et j'espère que vous allez tous vous joindre à moi. Merci.
Don : Incroyable ! Un record de donations. Je ne pourrais jamais assez vous remercier. Jack, je serai dans mon vignoble le mois prochain. Je veux que vous et Tracy veniez, et nous parlerons de vous remettre dans le circuit du cinéma.
Jack : J'organiserai ça, monsieur.
Don : D'accord. Tracy, amenez votre fille.
Tracy : C'est d'accord.
Don : Encore merci.
Jack : Félicitations, Tracy. Et bienvenue dans le monde des adultes.
Tracy : Ouais. Je n'ai pas de fille.
Jack : Faisons un casting lundi.
***
Kenneth : Grace... Il y a quelque chose que je dois te dire. Mais mes mots ne suffiraient pas. Alors pour citer monsieur Jerry McGuire.... Tu fais de moi une personne à part entière.
Grace : Quand tu dis bonjour, tu me possèdes complètement.
Don : Ma femme a besoin de sa veste.
Kenneth : Oui, monsieur !
Bureau de Liz
A la télé
«’Vous regardez le Marathon des femmes stylistes sur "Nick" ce soir. Vous devez avoir raison, monsieur. Je ne suis peut être pas capable de comprendre une pensée normale, puisque je pense qu'une femme est aussi forte qu'un homme . Et jusqu'à ce que vous me respectiez, vous feriez mieux de rester en dehors de mon chemin. Parce qu'ici, c'est chez moi. »
Liz : Ici c'est chez moi.
Le lendemain
Liz : Rester éveillée toute la nuit pour ré-écrire "l'étonnant chômeur". Pauvre fille.
Jack : Bonjour, Lemon.
Liz : Jack, voyons !
Jack : Vous êtes resté éveillée toute la nuit ?
Liz : Comment vous avez deviné ?
Jack : Ce sont les toilettes des hommes.
Liz : Vous avez gagné votre défilé de golf ?
Jack : Encore mieux. Le week-end prochain, Tracy et moi allons doubler l'équipe de Don Geiss avec nos grandes idées.
Liz : Vous êtes bizarres. Maintenant, allez-vous en. Je dois hurler sur mon personnel. Parce que je ne suis pas juste féminine, Je peux aussi montrer mon pouvoir.
Franck : Tu nous a cuisiné quelque chose ?
Lutz : Je pensais que tu allais amener des snickers. C'est pour ça que je suis venu.
-Tu ne peux pas nous promettre des snickers et ne pas en apporter. C'est pas cool.
Liz : Ecoutez, tout le monde. Ecoutez-moi. Ecoutez ! Il n'y aura plus de petits plats. Plus de promenades. J'étais ici cette nuit à faire votre boulot. Mais à 3H du matin, Je suis tombée sur cet épisode sur des femmes stylistes. Et quand c'est repassé à 5H, je l'ai enregistré. Je veux que vous regardiez tous attentivement. Parce que ça résume parfaitement ce que je veux vous dire Sur quoi je mets : "ENTREE" ?
Pete : Il y a un bouton "TV/VCR" ?
Liz : C'est quoi : "AUX" ?
Franck : Je peux y aller maintenant ?
Liz : Reste là. Je veux toute votre attention ! Qu'est-ce qui fait ce bruit ? D'accord, c'est pas grave. Je veux vous dire à tous quelque chose à vous tous. C'est moi le patron ici. Parfois, ça me rend impopulaire. Mais le fait est que... Je sais comment tu m'appelles, Lutz.
Lutz : Je suis désolé d'avoir dit ça. Je t'en prie, ne me renvoie pas en Alaska, Liz. Je déteste y aller.
Liz : Tu peux rester. Mais si jamais... Si jamais l'un d'entre vous utilise ce mot horrible pour parler de moi, Je le vire. Et vous ne changerez plus jamais de rideaux à Atlanta. Parce qu'on s'oppose pas à une femme styliste ! Je suis tellement fatiguée. Je suis tellement fatiguée, les gars.
Pete : Très bien, championne. C'est l'heure de dormir.