30 Rock
203– La Collection
Transcript by Maluzo - Posted on HypnoSeries
© NBC
Bureau de Jack
Jonathan : Un jour la ville entière sera à vous monsieur.
Liz : Hé, je peux vous parler ?
Jonathan : Vous ruinez toujours tout.
Jack : Je m'excuse pour lui. Il est un peu tendu depuis qu'il sait que je suis en course pour le poste de PDG.
Liz : Oui, c'est pour ça que je suis là. J'ai eu un appel d'un avocat aujourd'hui. Qui m'a demandé quel genre de patron vous êtes et depuis quand je vous connais, et quel animal vous décrit le mieux.
Jack : Qu'est-ce que vous avez dit ?
Liz : Un aigle avec une tête d'ours.
Jack : Merci, votre respect veut tout dire pour moi Lemon. J'arrive pas à croire que ça ait déjà commencé.
Liz : Quoi donc ?
Jack : Ils commencent à enquêter. Ils cherchent à savoir si je n'ai pas de squelettes chez moi. C'est ce qu'ils font avec toutes les candidatures.
Liz : Ils trouveront quelque chose ?
Jack : Oh, oui. J'ai fait des choses, Lemon. J'ai donc engagé un détective privé pour enquêter sur mon propre passé. Il va tout trouver avant eux. et je serais capable de rester loin de cela.
Liz : Vous avez engagé quelqu'un pour enquêter sur vous ? C'est bizarre.
Jack : Vous faites la même chose avec votre thérapeute toutes les semaines, non ?
Liz : On a beaucoup avancé cette semaine avec mon thérapeute. Je lui ai parlé de ce rêve... que je fais tout le temps où vous trouvez...
Jack : Je suis desolé je vais devoir le prendre. Oui elle est juste là.
Liz : Attendez ! C'est un faux téléphone !
Jack : Elle va le faire tout de suite. Qu'est-ce qui se passe sinon ?
Générique
Loge de Tracy
Liz : Qu'est-ce qui se passe ici ? Tu es à l'heure pour le boulot. La femme dans ta loge est ta femme, desolé Angie, c'est...
Angie : Je laisse Tracy revenir dans ma vie à deux conditions La première ça, Bling, bling ! C'est le top du ghetto. Ça appartenait à Brooke Astor.
Liz : C'est très joli.
Angie : Et l'autre condition c'est que je sois avec lui tout le temps. Tout ce qu'il à faire c'est travailler, manger, me faire l'amour et dormir. C'est pas vrai bébé ?
Tracy : Je suis choqué, Angie m'a réveillé à 7h30 aujourd'hui. Tu savais que le matin on avait à manger, la télé presque tout, c'est plutôt bien.
Liz : Je savais ça, oui.
Angie : Liz, j'ai besoin de ton aide. Je ne peux pas faire ça toute seule. Tracy est comme un petit enfant. Il a besoin qu'un adulte l'observe constamment. Pouvez-vous m'aider quand je ne serais pas la ?
Liz : Si, ça le laisse comme ça oui.
Angie : Pouvez-vous faire ça sans tomber amoureuse de lui ?
Liz : Egalement. Je pense que ce sera super, Angie. Je pense qu'on va former une grande équipe.
Angie : Oh, vous cherchez une pote noire un peu cinglée ?
Liz : Oh non, je ne voulais ...
Angie : Et bien vous en avez une !
Studio
Kenneth : Mlle. Moroney, vos lettres de fans d'aujourd'hui.
Jenna : Il y en a qui viennent de prisons ? Y'en a-t-il ? Oh mon dieu ! Avoir ce physique est la meilleure chose qui me soit arrivée. Les gens m'aiment vraiment maintenant.
Jack : Là voilà, voilà ma star.
Jenna : Et dire que j'ai voulu perdre ce poids. Ça a l'air fou maintenant.
Jack : Je sais ! Oh et j'ai vu votre pub "Enorme", c'est fabuleux...
Liz : C'est quoi "Enorme" ?
Jenna : C'est le parfum numéro 1 pour les femmes rondes.
« Enorme. Faites-lui poursuivre le morceau. Disponible en exclusivité dans votre grande surface locale. Ne pas utiliser pendant les règles. »
Liz : Les femmes rondes ne portent pas du parfum normal ?
Jack : Jenna, votre carrière décolle vraiment. Et à un niveau personnel je dois dire que je vous préfère en grosse.
Jenna : Oh, merci. Ça arrive enfin.
Liz : OK, allons tournez ces pubs. Je pourrais avoir un peu de maquillage pour Tracy ?
-Salut, mon choux. Comment ça va ?
Tracy : Salut.
-Voyons voir.
Angie : Oh, mon dieu non !
Liz : En fait, il est parfait. Merci.
Quelque part dans New-York
Jack : Vous êtes Lenny Wozniak ?
Lenny : Merci de me rencontrer ici, M. Donaghy.
Jack : Ouais, j'ai compris, la discrétion. J'aurais pas voulu parler de ça à mon bureau de toute manière
Lenny : Ouais. Aussi mon club de gym est juste à côté.
Jack : Donc... comment on va faire ?
Lenny : C'est assez simple en fait. Je vais passer toute votre vie au peigne fin. Et plus d'informations j'aurais, plus ce sera facile. Avez-vous déjà été arrêté ?
Jack : Oui. En 1976 à la convention nationale démocratique. Mais c'est bon, j'avais juste tabassé quelques hippies.
Lenny : Et votre famille ? Pas de squelettes ?
Jack : Mon frère Eddie vend des systèmes d'extinction d'incendie défectueux aux écoles. Mon cousin Tim truque les matchs de NBA. Ma mère a un niveau de racisme olympique. Pour le reste, ils sont trop bourrés pour faire quoi que ce soit, À moins que prendre des cuites est un crime ?
Lenny : Aucune affaire de sexe bizarre que je devrais savoir ? En fait ne me dites rien. J'aime découvrir par moi-même. Je suis observateur. OK, je vais commencer le processus maintenant. Il n'y a rien que vous voulez me dire maintenant ?
Jack : Non, c'est a peu près tout.
Lenny : C'est ce qu'ils disent tous, M. Donaghy. On reste en contact. Oh, une dernière chose, si je parraine un ami au club de gym, j'aurais un chapeau gratuit, donc... Pensez-y.
Bureau de Liz
Jenna : Je perds du poids.
Liz : Quoi ?
Jenna : Regarde ma ceinture, c'est le trou dont je me servais la semaine dernière C'est le trou que j'utilise maintenant. Je suis de retour à la case départ.
Liz : Jenna, calme-toi.
Jenna : Non, je ne me calmerai pas. Ça ne peut pas arriver. Tout est basé sur mon poids. Enorme. L'offre de jouer Madame Pacman dans le film d'action d'Atari.
Liz : Quoi ?
Jenna : Et le pire de tout, Jack ne m'aimera plus après. On a un rituel secret maintenant, on se tape les mains quand on se rencontre. Un "tape m'en cinq" C'était notre truc à nous.
Tracy : Hé, Liz Lemon, je lisais le journal pour essayer de trouver quelques idées pour des thèmes de sketch, donc cette semaine peut-on avoir une "section business" ?
Liz : Tracy, j'adore le fait que tu essayes d'aider.
Tracy : Tout est super.
Liz : Grace a Angie.
Tracy : En fait, où est ma charmante épouse ?
Liz : Elle a dû s'en aller à un rendez-vous.
Tracy : Oh, je vais au club de strip-tease maintenant.
Liz : Quoi ? Non je ne peux pas te laisser faire.
Tracy : Je suis desolé, Liz. C'est ce que je suis. Tu ne peux pas demander à un oiseau de ne pas voler. Tu ne peux pas demander à un poisson de ne pas nager. Tu ne peux pas demander à un tigre de redevenir un chinetoque à Minuit.
Liz : Angie va nous tuer.
Tracy : Je me sens mal à avoir à te faire ça, Liz Lemon, vraiment. Et la meilleure façon de me sentir mieux à propos de moi-même est d'avoir une paire de lolo d'une strip-teaseuse russe qui me frappe. J'y vais.
Loge de Jenna
Jack : On doit parler que quelque chose ?
Jenna : Non, Jack, tout va bien !
Jack : Écoutez... Il est venu à mon attention que vous avez un problème d'alimentation.
Jenna : C'est ridicule !
Jack : Vraiment ? Vous n'avez pas de mal à respirer. Votrte peau s'est éclaircie. Je te trouve même légèrement attirante maintenant.
Jenna : Ne dites pas ça Jack. Moi veut manger, OK ?
Jack : Vous voulez manger, Jenna ? Vous le voulez vraiment ?
Jenna : Je ne sais plus maintenant ! Je n'ai plus d'appétit !
Jack : Ce n'est pas grave. Kenneth ! Kenneth va être avec toi 24 h/24 et 7 j/7 pour te garder grosse. Garder Jenna grosse, garder Jenna marrante. J'ai pas raison, Kenneth ?
Kenneth : Ça sera comme rentrer à la maison, à la ferme des cochons. Je vais vous engraisser, et après mes oncles vous couperont la langue !
Quelque part dans New-York
Jack : Qu'est-ce que vous avez pour moi, Len ?
Lenny : Et bien, M.. Donaghy, vous êtes plutôt clean. Et votre vie sexuelle est plutôt sympa.
Jack : Merci.
Lenny : Il y a quelque chose qui pourrait se mettre en travers cette promotion. Vous devriez quitter probablement ce country club réservé aux blancs.
Jack : Ce n'est pas qu'un club de blancs. Regardez Johnny Carlos ? Il est étranger.
Lenny : Il est le roi d'Espagne, Jack. Je ne crois pas que ça compte.
Jack : D'accord, je partirai.
Lenny : Okay, vous avez aussi un domestique sans papier.
Jack : Manuelo ? J'ai besoin de Manuelo. Je ne pourrai jamais payer si peu une personne parlant anglais. OK, je le renvoie à la maison.
Lenny : C'est tout. À moins que vous pensiez que j'ai manqué quelque chose.
Jack : Non, je pense que vous avez assez approfondi. C'était un plaisir de faire affaire avec vous.
Lenny : Oh, Jack. Une dernière chose. Vous n'avez pas une collection massive de boîtes à cookies, n'est-ce pas ?
Jack : Comment avez-vous trouvé ça ?
« Bienvenue à la Convention Internationale de Boîtes à Cookies. Collectionneur de l'année. Félicitations, Victor Nightingale. Merci. Oui, je suis Victor Nightingale ».
Lenny : C'est mauvais. Les CEO n'ont pas des milliers de boîtes à cookies. Des gars bizarres avec des nœuds papillon en ont. Vous voyez ce que je veux dire ?
Jack : Quoi ? Vous dites que c'est un truc de gay ?
Lenny : Vous parlez d'un truc de gay. C'est pire. Vous devez vous en débarrasser.
Jack : Non, je ne vais pas faire ça. J'ai déjà fait assez de sacrifices pour cette compagnie. Ils n'auront pas ça !
Lenny : C'est Rudolph Giuliani en 1987, avec une collection d'antiques poupées en bois.
Jack : C'est un faux ! Giuliani ne collectionne pas les poupées.
Lenny : Ouais, vous avez raison. Parce qu'il les a toutes brulées ! En 1989, l'année où il s'est présenté comme Maire. Il a l'air si heureux. Oh, Jack, à vous de choisir. Vous pouvez soit être la tête de la plus grosse corporation d'Amérique, ou être enterré avec un noeud papillon et vos boîtes à cookies.
Studio
Angie : Liz Lemon, où est Tracy ?
Liz : Il est allé chez le vétérinaire. Son cobra est tombé malade.
Angie : Okay.
Tracy : Hey, tout le monde. Je suis de retour et faire ce que Liz Lemon a dit.
Angie : Et c'était quoi exactement ?
Tracy : Euh, mon cobra, Ramsès. Il est tombé malade. Donc je l'ai amené chez le véto ! Et mon pouce est resté coincé dans mes fesses, et j'ai fait signe de la tête jusqu'à ce qu'il sorte.
Angie : Viens là, toi. Tu sens comme Enorme et brass polish. Tu étais au club de striptease !
Tracy : C'était de la faute de Liz Lemon ! Tout le plan était d'elle.
Liz : Oh, allez, mec !
Angie : Tracy Jordan, you are in for a world of hurt. Mais tu es pire. Je t'ai fait confiance. Tu portes des lunettes. Ton accès à Tracy Jordan est coupé !
Liz : Tu ne peux pas me couper. C'est mon show !
Angie : Plus maintenant. Tout passe par moi maintenant ! Viens !
Tracy : Adieu, Liz Lemon. Merci d'avoir été ma secrétaire !
Loge de Tracy
Liz : Normalement, je dirais nos idées de sketch à Tracy… OK. Dans le sketch d'ouverture cette semaine, Tracy est un braqueur de banque...
Angie : Non. Je ne veux pas perpétuer de stéréotypes sur les noirs. Suivant.
Liz : Dans celui-là, Tracy joue un gentlemen, qui porte des vêtements flamboyants et qui vit dans un quartier chic.
Angie : C'est un mac.
Liz : C'est un entrepreneur.
Angie : Quel est le nom du personnage ?
Liz : Slick... Back Lamar. Il a aussi joué Barack Obama.
Angie : Non. On supporte Kucinich.
Liz : Écoute Angie, je suis désolée d'avoir mentie mais tu dois me laisser une autre chance.
Angie : Excuse-moi. Est-ce que tu essayes de contrôler mon corps avec ta main blanche ? Ne me fais pas contacter le Révérend Sharpton. Je ne peux pas gérer avec toi. Je veux des nouveaux scénaristes pour Tracy, ou il ne fait pas le show. Grizz, Dotcom, commencez à trouver des idées !
DotCom : On ouvre sur un soldat isolé marchant à travers le désert. L'année : 1861. Le lieu : Mars…
Loge de Jenna
Kenneth : Ces trucs vont vraiment vous rendre grosse, Mme. Moroney. Le coeur de mon père n'a pas pu les supporter. Et c'est ce qui a fait que le copain de mère, Ron, a emménagé. En avant pour l'atterrissage. Il y a des turbulences. Et maintenant un indien se lève pour utiliser les toilettes, Et un stuart lui tire dessus.
Jenna : Non, non, je ne peux pas.
Kenneth : Bon sang, j'aimerai avoir quelques sédatifs pour cochons maintenant.
Quelque part dans New-York
Jack : Adieu, boîtes à cookies. Merci de vous occuper de ça pour moi.
Lenny : Pas de problème, M. Donaghy.
Jack : Oh, c'est pour le mieux. Plus de secrets, plus rien sur mon chemin maintenant. Par curiosité, qu'allez-vous faire exactement avec elles ?
Lenny : Elles vont être incinérées à Jersey City.
Jack : Oh, non. Non, non, non, non. Je ne peux pas laisser... Donnez-moi ça.
Lenny : C'est vos funérailles, Donaghy.
Jack : Je ne peux pas les détruire. Je les donnerai à quelqu'un. À un céramophile.
Lenny : Vous êtes comme John Kerry avec sa planche à voile Je l'ai prévenu aussi.
Studio
Pete : Comment ça va avec Angie ?
Liz : Mal. Elle me hait. Elle détourne le show. Je vais devoir parler à Jack.
Pete : Tu veux qu'une femme noire folle soit gentille ? Dis-lui que tu aimes son vernis ! Ça marche toujours pour moi à la banque.
Kenneth : Mme. Lemon, puis-je vous parler ?
Liz : Oui, tu peux parler et marcher ?
Kenneth : Uh, habituellement mais maintenant que vous m'y faites penser. Jenna avec problème que j'ai... Voilà. Je suis supposé aider Mme. Moroney à rester grosse mais ça ne marche pas. Comment faire pour qu'elle mange ?
Liz : Beaucoup de femmes mangent trop parce qu'elles se sentent mal à propos d'elles.
Kenneth : Peut-être que c'est le problème. Tout va tellement bien pour Mme. Moroney en ce moment.
Liz : Sois méchant avec elle. Les femmes avec peu d'amour propre prennent refuge dans le sexe ou la nourriture. Pas moi, bien sûr. Tu dois être méchant, Kenneth.
Kenneth : Je pense que je peux attendre qu'elle dise quelque chose pour dire : "Joli coup, grosse maline." C'est ce que le copain de ma mère Ron ferait.
Liz : D'accord, Jenna veut vraiment ça, hein ?
Kenneth : Sa carrière en dépend. Aidez-moi s'il vous plaît.
Liz : OK, tu as quelque chose pour écrire ? Oh. Oh, j'en ai un…
Bureau de Jack
Jonathan : Monsieur, quelqu'un d'autre a appelé à propos de votre collection. Un certain M. Gary Heingarten.
Jack : Non, Jonathan. Il vit en Albanie et avec toutes ces variations de température... Ces choses grandissent et se contractent. Elles sont en vie, Jonathan.
Liz : Vous avez une minute ? La femme de Tracy... Qu'est-ce que c'est que cette boîte à cookies ?
Jack : Je les collectionne.
Liz : Vraiment ? C'est une sorte de problème d'enfance non résolu ?
Jack : Bien tenté. Nous n'avions jamais de boîte à cookies à la maison car ma mère ne nous en faisait jamais et pensait que nous n'en méritions pas. C'est évident que ça n'a rien à voir avec mon enfance.
Liz : Mais il y a écrit "Mom" dessus.
Jack : Non je ne pense pas. Je l'ai toujours vu comme un "Wow" renversé. Mais ça n'a pas d'importance car je dois... M'en débarasser.
Liz : Pourquoi ?
Jack : Le gars avec les goûts bizarres n'obtient jamais les postes importants. Lemon, que se passe-t-il sur votre plateau, là ?
Liz : C'est pour ça que je suis monté. La femme de Tracy est incontrôlable.
Jack : Vous lui avez dit que vous aimez ses ongles ?
Liz : Non. Mais j'ai pensé qu'on pourrait l'engager comme consultant. Ça ne veut rien dire mais ça la calmera.
Jack : Lemon, je suis impréssionné. Vous pensez comme un homme d'affaire.
Liz : Une femme d'affaire.
Jack : Je ne crois pas que ça soit correct. Mais ce n'est pas une situation d'un homme d'affaire mais plutôt un conflit familial, donc c'est compliqué.
Liz : Donc je fais quoi à propos d'Angie ?
Jack : Je crois que vous allez devoir vous battre.
Liz : Quoi ?
Jack : Oui.
Vous la jetez dehors, elle va probablement vous frapper en pleine figure. Et ensuite on l'éjecte du building et on l'empêche de revenir. Je crois qu'Angie est droitière donc c'est comme les aiguilles d'une montre.
Liz : Attendez, vous aviez déja pensé à vous battre avec elle ?
Jack : Je le fait à chaque nouvelle rencontre. Un problème au genou gauche non ?
Liz : Je ne me battrais pas. Je lui donnerais ce titre et elle s'arrêtera.
Jack : Lemon, vous allez être frappée à la figure et ça va faire très mal. You want to lean in to take away their momentum. Prête ?
Liz : Je ne veux pas.
Jack : en garde Allez y !
Liz : Oh, Jack, arrêtez !
Loge de Jenna
Kenneth : Bonjour, Jenna "Vous mangez toujours autant car vous avez tout échoué dans votre vie ?"
Jenna : Quoi ?
Kenneth : Espèce de lâche. "Vous allez arrêter ça comme vous avez arrêter l'école de mode ?" "Abandonner comme votre relation avec David Blaine ?"
Jenna : C'est lui qui a dépassé les bornes avec sa magie.
Kenneth : Et aussi, "Vous avez tant de problèmes avec votre père, que tout cela vous empêche de devenir strip-teaseuse, et votre grain de beauté..."
Jenna : Kenneth, ça me fait du mal.
Kenneth : "Vous avez menti à propos de la noyade de votre frère, pour que tout le monde vienne à votre one woman show."
Jenna : Kenneth, je ne t'ai jamais entendu parler comme cela.
Keneth : "Your toes look like dried up shrimps."
Jenna : Oh, oui vas-y. Continue ! mmmm ! Qu'est-ce que tu n'aimes pas à mon sujet ?
Loge de Tracy
Angie : Je peux vous aider ?
Liz : Oui, Angie, nous sommes partis du mauvais pied mais je dois vous dire que j'apprécie votre contribution à notre show. Et je veux donc vous offrir une place de consultant.
Angie : Je ne veux pas de ce titre. Vous pensez pouvoir m'acheter pour que je sois sympa ? Ça n'arrivera jamais.
Liz : OK. Je vous ordonne de partir !
Angie : Pardon ?
Liz : Prenez vos affaires et sortez, ne me faites pas répéter.
Tracy : Non, Liz Lemon, ne fais pas ça.
Angie : Vous vous opposez à moi ?
Liz : Et alors ? Et vos ongles sont rugeux.
Tracy : Oh, une minute. Assez, mince alors, assez ! C'est moi qui doit régler cette situation ? C'est moi qui suis immature. Mais vous m'obligez à agir comme un adulte. Un adulte ! Et encore pire ! Vous m'empêchez de voir deux femmes se battre. Mais je m'en fiche. Parce que je dois m'interposer !
Angie : Tu dois t'interposer devant moi ?
Tracy : Bébé, tu dois partir. Tu veux tout contrôler. Tu es manipulatrice Tu parles trop fort...
Angie : Tracy... Je ne t'ai jamais entendu parler comme ça.
Tracy : Attends, laisse-moi enlever mon t-shirt.
Angie : Enlève-le.
Liz : Juste pour que ce soit clair, ça signifie qu'Angie part ou... ? Oh non ! Vous commencez par ça ? C'est... wow !
Bureau de Jack
Kenenth : M. Donaghy, j'ai de mauvaises nouvelles. Je n'ai pas réussi à faire manger Mme. Moroney. Je suis désolé.
Jack : Que s'est-t-il passé ?
Kenneth : Et bien, il s'est avéré qu'elle est devenue un petit peu folle. Et je pense qu'on va devoir se marier...
Jack : J'accepte tes excuses Kenneth. Je pense qu'on a tous les deux eu un mauvais jour. Regardez-moi cette merveilleuse boîte à cookies !
Kenneth : On dirait un "Wow" renversé écrit dessus.
Jack : Tu aimes les boîtes à cookies, Kenneth ?
Kenneth : Je pense que je n'y ai jamais vraiment réfléchi mais on en avait une belle dans notre maison en Géorgie. Avec un ours dessus. Je me rappelais quand le copain de ma mère Ron voulait venir. Ils allaient dans leur chambre pour faire la paperasse et j'allais devant et je regardais cette boîte à cookies ! C'était comme si elle enlevait tous mes problèmes et qu'elle les gardait à l'intérieur. Et ils étaient enfermés si fort que jamais rien, jamais rien, ne pouvait sortir. Donc pour répondre à votre question, je pense que je mets un rang B aux boîte à cookies !
Jack : Certaines personnes ont un si grand nombre de problèmes, qu'il n'y a pas assez de boîte à cookies pour tous les contenir.
Kenneth : Et bien, ça me rend encore plus triste.
Jack : Kenneth, j'ai une collection de boîte à cookies. Vous la voudriez ?
Kenneth : Bien sûr monsieur, j'adorerais.
Toujours les tenir par la base et jamais par le haut. Et si jamais vous allez à la réunion de Sarasota, dites à Patty et Beth et à tout le monde que... euh, Vic Nightingale dit bonjour…
Kenneth : Euh, d'accord monsieur.
Jack : (s’adressant à la télé et don geiss) T'es content espèce d'enfoiré ? Espèce d'enfoiré !