30 Rock
209 – Noël
Transcript by Maluzo - Posted on HypnoSeries
© NBC
Bureau de Jack
Liz : Je voulais vous souhaiter Joyeux Noël avant qu'on parte en vacances.
Jack : Merci, c'est très délicat de votre part. Prenez donc un cadeau. C'est notre nouveau photo scanner/papier suppr. portable.
Liz : Mais du coup, les gens vont détruire leurs photos, non ?
Jack : C'est facile à utiliser. Pour photo-scan vous basculez sur P.S. Et pour papier-suppr vous basculez sur...
***
Franck : J'ai une annonce à faire ! Simplement dire que je suis vraiment désolé pour tout ce que je ferai à la fête de ce soir. Et je vous pardonne tous par avance de m'abandonner près de l'ascenseur, évanoui dans mon propre vomi. Joyeux LudaChristmas !
Cerie : Tu vas encore faire le Père Noël Bandant, Frank ? C'était tellement drôle l'an dernier quand je me suis assise sur tes genoux.
Franck : Oui, marrant.
Bureau de Jack
Jack : Alors, vacances chargées ?
Liz : Mes parents débarquent avec mon frère, et on va aller voir Jersey Boys sur Broadway. Et on va aller dans ce restaurant où ils font comme si on était sur Mars.
Jack : Vous devez être une boule de stress.
Liz : Non, je suis vraiment impatiente.
Jack : Vous insinuez que votre famille est parfaite et sans conflit ?
Liz : Non, je me rappelle d'une grosse dispute pendant le choc pétrolier en 79. Mais depuis le départ de Carter, ça a été une croisière tranquille.
Jack : À qui le dites-vous.
Liz : Votre mère arrive de Floride ?
Jack : Non, je l'ai invitée à cause de ma culpabilité d'Irlandais mais son avion a été immobilisé à cause de l'ouragan Zapato. Regardez ça ! Elle habite là. Jupiter, l'oeil de l'ouragan.
Liz : Donc, vous êtes seul pour Noël ?
Jack : Non, je vais conduire jusqu'au Vermont et faire une surprise à C.C.
Jonathan : Monsieur ! Votre mère est ici. Elle a pris un bus jusqu'à Atlanta. Elle a forcé Ryan Air à accepter un ticket de la SNCF.
Jack : Dites-lui que...
Colleen : Vive le vent, vive le vent, surprise ! C'est ta mère. Joyeux Noël. Ce serait pas le même bureau qu'avant ? Je croyais que tu allais être promu.
Jack : En effet mère, et il n'y a que 2 bureaux plus beaux dans l'immeuble.
Colleen : Que deux ? Les probabilités ne me plaisent pas. Tu ferais mieux de laisser ce rêve s'envoler. Bonjour Liz ! Qu'est-ce que c'était ?
Jack : Un message d'un ami.
Colleen : Jackie, je t'en prie. Qui est-elle ?
Jack : Elle s'appelle C.C.
Colleen : Elle est espagnole ?
Jack : Et si elle l'était, mère ?
Liz : Elle est très intelligente, Vous l'apprécieriez.
Colleen : Mes remerciements au poulailler. Ce manteau ne va pas se retirer tout seul.
Générique
Jenna : C'est ce soir LudaChristmas ? Je pense que je peux y arriver. J'espère ne pas être saoule et chanter des chants de Noël comme l'an dernier.
Liz : Je ne viens pas, mes parents et mon frère Mitch sont en ville.
Jenna : Mitch est ici ?
Liz : Oui. Pour ceux qui ne connaissent pas mon frère, Mitch a eu un accident de ski pendant sa Terminale, et a ce qu'on appelle une Nivea-Dysmnésie par Trauma En gros il est coincé sur la veille du jour de l'accident. Il pense être en 1985. Donc si vous le croisez... soyez cool.
Jenna : Il devrait être signalé que sexuellement Mitch est carrément adulte.
Liz : Non, ça ne devrait pas être signalé.
Kenneth : Joyeux Noël de Sheinhardt Universal, tout le monde. Joyeux Noël. Joyeux Noël. Joyeuse fête juive. Joyeux Noël.
Josh : C'est quoi ?
Kenneth : C'est une PS-575 déchiqueteuse de photo. Ce n'est pas l'esprit de Noël. Noël, c'est la gratitude et la complicité. Être assis avec ses amis et sa famille autour d'un feu crépitant, en attendant que la viande de hibou cuise. Parfois j'ai l'impression que vous ne comprenez pas du tout Noël.
-Salut, je pense que je suis en avance. Je suis là pour qu'on mange des repas de Noël sur ma poitrine.
Kenneth : Joyeux Noël, Mademoiselle Lemon.
Liz : Merci Kenneth. Joli costume ! Comment était le tribunal ?
Tracy : Pas super, Beth.
Liz : Vous étiez vraiment au tribunal ?
Grizz : Tout ce que Tray avait à faire c'était signer ses travaux d'intérêt général. Mais d'abord, il s'est arrêté déjeuner.
Tracy : Alors c'est ma faute si les restaurants servent de l'alcool à New York ? Je suis fautif maintenant ? Maintenant je dois porter ça 1 mois.
Liz : Oh mon Dieu.
Tracy : S'il n'y a rien qu'une goutte d'alcool dans ma sueur un signal va au siège du bracelet à Denver. Et je vais en prison. Maintenant ? À cette période de l'année ? LudaChristmas ? Le réveillon du Nouvel An ? Martin Luther King Day ? Tout ce que tu fais c'est boire.
Liz : Tracy, tu n'iras pas à LudaChristmas. Vous 3 devez l'empêcher de boire.
Kenneth : OK. Mais qui est chef de projet ?
***
Liz : À ce point-là, hein ?
Jack : Ce n'est pas pour moi. Je les envoie dans la chambre d'hôtel de ma mère car le service d'étage est trop salé.
Liz : La famille, ça peut être pénible.
-Voilà les Lemon ! Demandons permission d'atterrir !
Liz : Permission accordée !
-C'est mon bébé !
-Liz, ça te dit d'aller skier au sommet du Piper demain ? Ça va être géant. Touchée ! Tu ne peux pas venir. C'est le voyage de Terminale.
Liz : Oh, touchée ! Tu m'a eue, Mitch ! Jack, voici mes parents.
-Dick Lemon. C'est mon garçon, Mitch. Et ma 1re femme, Margaret.
Margaret : 1re et dernière, bonjour.
- Jack Donaghy.
Dick : Vous êtes vraiment un très bel homme. Il ressemble à un modèle des chemises Arrow.
Margaret : Alors Jack, ce superbe génie n'est-il pas le meilleur employé que vous n'ayez jamais eu ?
Jack : ….NO…
Dick : J'aime l'honnêteté de cet homme.
Liz : Oui, moi aussi.
Dick : Montre-nous tes travaux... Wilma Shakespeare. Je suis si fier de toi.
Mitch : Ravi de vous avoir rencontré.
Jack : Ouais. Pourriez-vous les emballer et les envoyer au Ritz-Carlton, S.V.P. ?
Margaret : Bonté divine ! Regardez ça ! Ils ont construit tout ça à partir de ce que tu as écrit.
Liz : Merci, merci.
Mitch : Liz, devine qui vient skier avec moi ? Chris Stanek, ton petit ami !
Liz : Quoi ? Tais-toi ! Je ne l'aime pas. Les garçons sont dégoûtants.
Margaret ; Tu es au courant pour le divorce de Chris Stanek ?
Liz : Quand ? Il sort à nouveau ?
Jack : Lemon , Vous avez un instant ?
Liz : Excusez-moi.
Jack : Tout va bien ?
Liz : Bien sûr, pourquoi ?
Jack : Votre famille est bizarre.
Liz : Mitch ? Non, accident de ski, il se croit en 1985.
Jack : Non, j'avais saisi. Je parlais de vos parents. Qu'entendait votre mère par "superbe génie" ? Elle vous taquinait ?
Liz : Non, c'est juste qu'ils me soutiennent. Ils ont toujours été comme ça. Même quand j'ai poursuivi l'école de Lower White Haven pour que les filles puissent jouer au foot. Le féminisme !
Jack : Quoi ?
Liz : On a pas atteint les playoffs, mais on était premiers en courage.
Jack : Mon Dieu, je n'ai jamais vu... des encouragements aveugles et acharnés. Ça explique que vous soyez une je-sais-tout frigide.
Mitch : Papa, prends-moi en photo, regarde. Je suis la dame de Flashdance.
Margaret : C'est un Flashdance réussi poussin.
Jack : Un Flashdance réussi.
Loge de Tracy
Tracy : Les fêtes sans boire, c'est horrible. Il s'avère que le football est barbant. La soeur de ma femme est moins belle que prévu. Et je ne sais pas jouer de la guitare.
Kenneth : M. Jordan, je sais à quel point c'est difficile. J'ai été dépendant de la coke pendant mes années Wall Street. Mais vous pouvez y arriver. La 1re nuit est la pire.
Tracy : Mais ce soir c'est LudaChristmas.
Kenneth : Ce soir, vous et moi on va s'amuser façon Noël. On peut faire des jeux en groupe. Comme "Murder" ! D'abord, tout le monde sort un bout de papier du chapeau. Sur l'un d'entre eux est inscrit "Meurtrier". Et sur un autre "Inspecteur". Ensuite tout le monde baisse la tête. Sauf le meurtrier. C'est l'inspecteur. Non, c'est pas ça.
Tracy : K, merci d'essayer de m'aider. Mais je vais rentrer, réfléchir un peu, et dire à la soeur de ma femme d'ignorer tous mes emails.
Bureau de Jack
Colleen : Cet hôtel était un désastre, Jack. La TV avait plus de 100 chaînes, pour l'amour de Dieu. Je ne suis là que pour 3 jours.
Jack : Très bien, mère. Vous pouvez rester chez moi.
Colleen : Non, je ne me permettrais pas. Tu es sûr ?
Jack : Oui, mère, totalement sûr.
Colleen : Très bien, alors, c'est réglé. Jack, as-tu des toilettes où je puisse aller en urgence ?
Jack : Oui, juste là, mère.
Colleen : Eh bien, plutôt proche, n'est-ce pas ? Je serai rapide.
Toc toc !
-C'est juste les Lemon.
Margaret : On vient vous déposer un petit cadeau d'au revoir.
Jack : Merci.
Margaret : Bonté divine. Quel bureau magnifique. Votre mère doit être si fière.
Dick : Regarde cette moquette. On dirait qu'il faut retirer ses chaussures. Devons-nous les retirer ?
Jack : Asseyez-vous et mettez-vous à l'aise.
Margaret : On ne voudrait pas vous déranger. On sait que vous avez des projets.
Jack : Je comptais aller dans le Vermont et passer chez ma compagne C.C.
Margaret : J'adore ce nom. C.C.
Dick : Je parierai que chacune de vos compagnes est une vraie gagnante.
Jack : Eh bien, c'est une députée.
Margaret : Bonté divine !
Jack : Et elle a un téléfilm sur Lifetime.
Dick : Lifetime ! Genial !
Jack : Écourtons la mascarade et dites-moi ce que vous attendez de moi exactement.
Salle des scénaristes
Jenna : Maintenant Alfonso, trouvons où installer le clavier. Il n'y a que... Il n'y a que... Il n'y a que Maille qui m'aille. Oui, ici c'est l'endroit idéal. Et pas de blabla entre les chansons cette année. Personne ne regarde Letterman pour Paul Shaffer.
Mitch : Pardon madame, savez-vous où sont les toilettes ?
Jenna : Salut, Mitch. C'est Jenna. Maroney. On se connaît.
Mitch : Vous êtes genre une amie de ma mère, ou quoi ? Je lui dirai que vous lui passez le bonjour. Ça roule ? Tu aimes Wham ? Parce que je suis un peu le George Michael de mon école.
Cerie : C'est toi Mitch.
Mitch : Ouais.
Cerie : Tu viens à la fête ce soir ?
Mitch : J'aimerais bien. Mais je dois me reposer car je pars au ski demain. Mais on pourrait peut-être faire un truc la semaine prochaine.
Cerie : Carrément. Mes parentssont absents la semaine prochaine. T'as qu'à passer. Je serai dans le bain à remous.
Mitch : Oh mon Dieu !
Franck : Voilà un miracle de Noël bien cochon...
Bureau de Jack
Liz : Ah, vous voilà. Pardon pour cette intrusion.
Jack : Pas de problème. Ils sont venus me déposer ce cadeau de Noël. Et regardez ça. Il y a du fromage, du beurre et du caramel. Tout ce que j'aime. Comment saviez-vous ?
Liz : Bien, on va vous laisser. On a prévu de faire du lèche-vitrine.
Dick : Jack, venez donc avec nous !
Liz : Allez, vous pourrez parler du Président Reagan avec Mitch.
Jack : Pour lui, Reagan est toujours Président. T'as une chance de cocu.
Mitch : Quoi ?
Jack : J'adorerais vous accompagner.
Margaret : Bien, bien, bien !
Colleen : Jack ??
***
Franck : Je te croyais parti, mec.
Tracy : Vous allez où les gars ? Célébrer LudaChristmas ?
Franck : Il paraît que tu peux pas boire. Tu viens quand même ?
Tracy : Non, pas possible à cause du bracelet de cheville. Mais je pourrais peut-être venir et pas boire. Ou alors, je fais un compromis. Je vais à la fête, me coupe le pied, et bois tout ce que je veux.
-Yeah !!!LudaChristmas ! LudaChristmas...
Kenneth : Grizz, Dotcom, fermez les portes. Certaines personnes ont besoin d'un cours sur Noël.
Patinoire
Dick : Hé, méfiez-vous d'elle, Jack. C'est une athlète née. Elle a joué au football à la fac.
Liz : Je n'ai fait qu'une partie, papa. Même si j'ai effectivement tout changé pour toujours.
Dick : Je n'oublierai jamais cette journée.
Margaret : Jack, vous avez lacé vos patins comme un professionnel. Quel talent !
Liz : C'est bien d'avoir des encouragements positifs, hein ?
Jack : Ce sont des encouragements positifs quand ils vous sont adressés. Dans mon cas, ils ne font que constater des faits. Je ressemble au gars de la pub Arrow, j'ai lacé mes patins comme un pro, et j'ai réellement mangé mon muffin de façon fabuleuse.
Liz : Vous aimeriez être dans ma famille.
Jack : Ne soyez pas ridicule. Alors, la croisière Disney en Mars, vous en êtes ?
Dick : Serrez-vous. On va prendre une photo.
Liz : Oui.
Mitch : Dites "Lemon !"
Colleen : Jack !!!!!! On s'amuse ? Jack, que diable fiches-tu ?
Jack : Je suis désolé mère, mais les Lemon m'ont invité et je n'ai pas pu refuser. Ce sont des gens charmants.
Colleen : Oh, je t'en foutrais du charmant, moi. Buvons un verre pendant que ce pays se transforme en un deuxième Mexique.
Jack : Ils ne disent pas ce genre de choses. Ils sont très polis entre eux.
Colleen : J'imagine que tu penses qu'ils sont plus réconfortants que moi.
Jack : Mère, certaines cellules terroristes sont plus réconfortantes que vous.
Colleen : Fais attention. Je vais pleurer. Tu me laisses dix minutes avec la famille Lemon, et ils se crêperont le chignon comme des drag-queens à une vente de perruques.
Liz : Maman, papa, voici la maman de Jack.
Dick : On a entendu tellement de bien à votre sujet.
Colleen : Vraiment ?
Margaret : Vous devez absolument dîner avec nous.
Jack : Non, c'est impossible. Nous avons des projets.
Colleen : Avions des projets. Une soirée en ville avec les Lemon. Que demander de plus ?
Margaret : Formidable !
Salle des scénaristes
Kenneth : Merci, Révérend Gary. Ce fut à la fois amusant et instructif. Noël a un peu dérapé par ici. Regardez ça. Ce n'est pas un sapin de Noël. C'est un moyen d'attirer les touristes pour leur vendre des salades à 20$. Nous avons perdu le sens de l'essentiel. Donc nous allons faire le tour du cercle et chacun d'entre nous expliquera ce que Noël signifie pour lui. Commençons ici.
Au restaurant
Colleen : C'est difficile de faire un choix. Les photos des plats sont tellement appétissantes.
Liz : Je vais pendre la tour d'oignons frits pour deux, pour une.
Colleen : Bien joué ! Vous devez être tellement fiers de Liz Elle s'en sort par elle-même, si loin de la maison.
Dick : Ça nous donne une excuse pour visiter New York.
Colleen : Je vois. Des petits-enfants ? C'est dommage. Ça doit vous dévorer de l'intérieur.
Margaret : Oh, Champy, notre épagneul, nous donne bien de l'occupation.
Jack : Vous voyez mère, toutes les espèces ne dévorent pas leurs petits.
Colleen : Changeons de sujet. La politique.
Dick : Nous ne parlons pas de ça. La vie est trop courte.
Jack : Vraiment ? La vie est trop courte ? (à sa mère) Parce que la vôtre paraît interminable.
Salle des scénaristes
Kenneth : Merci, Révérend Gary. C'était l'air de American Pie, mais en bien plus long.
Tracy : Écoute, on a appris notre leçon sur le gros sapin et tout ça. Il faut que ça s'arrête !
Franck : Qui se soucie de la véritable signification de Noël ? Ça sert à recevoir des cadeaux pourris et à trop manger ! Ça sert à se saouler et à enlacer sa cousine jusqu'à ce que ta mère te dise,"Frank, ça suffit".
- C'est vrai.
Kenneth : Bien, le moment semble approprié pour que le Révérend Gary nous montre une vidéo de sa mission au Guatemala l'année dernière.
Franck : Quoi ?
Tracy : C'est une culture où il est normal de vivre seins nus ?
« Des morceaux de bois ! Exactement ce que j'ai demandé dans mes prières ! »
Kenneth : Et voici ce que vous avez fait de vos cadeaux de Noël.
Jenna : On est tellement blasés de tout.
Franck : Au lieu de faire la fête, on devrait faire don de l'argent à ces enfants.
Cerie : On devrait dire à nos familles et amis qu'on ne veut rien cette année,
Franck : Ouais !
Josh : On devrait servir la soupe populaire au lieu d'acheter des trucs dont personne n'a besoin.
Tracy : On devrait descendre et abattre le gros sapin !
Kenneth : Non ! Non, attendez !
Au restaurant
Liz : Votre mère me tue Si j'ai déjà embrassé une femme ? Mais c'est quoi ça ?
Jack : Bienvenue dans mon monde, Lemon. Elle essaie de vous démoraliser.
Liz : Pourquoi ?
Jack : Elle veut prouver que votre famille est aussi tordue que la mienne.
Liz : Eh bien, c'est ridicule. Oh, Mitch a trouvé un journal. Mitch, c'est un journal pour rire !
Jack : Mais pourquoi ne les laissez-vous pas tranquilles ?
Colleen : Parce que les Lemon ne sont pas ce qu'ils semblent être. Je suis peut-être sacrément encombrante, mais j'ai fait du bon boulot en t'élevant. Regarde-toi aujourd'hui, et regarde-les.
Jack : Ils ont l'air heureux.
Colleen : Ils sont dans le déni. Allez, enfin !
Jack : Dick, laissez-moi...
Dick : Jack ! C'est pour moi. Il n'y a pas de soirée Lemon sans le bon vieux Dick.
Margaret : Doucement sur les fritures, chéri.
Mitch : Arrête, je peux manger tout ce que je veux. Je suis un ado.
Colleen : Mitch, tu n'en as jamais assez que Liz, soit le centre des attentions en tant que petite dernière ?
Mitch : Non, mes parents me consacrent beaucoup de temps. Rien qu'hier on est allés voir Les Goonies ensemble... Tu n'étais pas censée le savoir Liz, désolé.
Liz : Attends, vous avez vu Les Goonies hier ? Il parle "d'hier en 1985 "?
Mitch : 6 Décembre 1985. Qu'est-ce que "hier" pourrait vouloir dire d'autre ?
Liz : C'était le jour de mon match de football. Vous n'êtes pas allés à mon match ?
Margaret : On avait un peu honte, Liz.
Liz : Papa, tu as...
Dick : Pour l'amour de Dieu, c'est le club de Whitehaven, Elizabeth. Ce n'est pas rien. J'ai porté ce maillot.
Liz : Je prenais position pour les femmes.
Margaret : Et tu prends aussi position en ne nous donnant pas de petits-enfants ?
Liz : Tu veux des petits-enfants, Margaret ? Pourquoi ne pas ennuyer Mitch avec ça ?
Dick : Parce qu'il a 17 ans !
Liz : Il a 40 ans !
Mitch : Quoi ? Oh, mon Dieu l'accident. J'ai heurté l'arbre !
Margaret : Non, oublie ça !
Mitch : Je suis si vieux !
Margaret : Merci, Elizabeth Lemon.
Dick : Tu ne penses vraiment qu'à toi, jeune fille. Tu n'as même pas proposé de payer le dîner. J'ai un salaire fixe.
Margaret : Pourrais-je avoir un autre verre ?
Colleen : Bingo.
***
Kenneth : C'est pas ce que je voulais dire !
Tracy : Si. On envoie un message à tous ceux qui ont oublié les scrupules de Noël. Car pour rester normal, il faut devenir fou ! bip bip… J'ai bu un petit coup avant la réunion. Prends ça, Kenneth. Ça, c'est une flasque. Donc vous feriez sans doute mieux de pas m'écouter.
Passez tous un très Joyeux Noël Et de bonnes fêtes de fin d'année. Désormais, tous vos problèmes sont oubliés Comme au bon vieux temps...
Jack : Joyeux Noël, mère.
Colleen : Joyeux Noël, Jackie.