30 Rock
Episode 211 – L’article qui fâche
Transcript by Maluzo - Posted on HypnoSeries
© NBC
*Dans le final de Milf Island. Des mamans canons ! Mais qui sera la dernière que vous aimeriez... Vous voyez. Je suis là pour gagner ! Tout de suite, sur NBC.*
Liz : Les gars, vous comptez bosser aujourd'hui ou...
Franck : Tais-toi. Y'a Milf Island.
*20 milfs, 50 collégiens, aucune règle. Et ce soir, une gagnante. Bienvenue sur Milf Island.*
Liz : Cette émission est nulle. Une milf n'est pas décédée pendant le tournage ?
Lutz : Elle était saoule et un singe l'a poussée dans des sables mouvants. Ça pourrait arriver n'importe où.
Kenneth : Mlle Lemon, problème à l'horizon. Je parcourais ce journal à la recherche de l'article sur le speed dating que vous vouliez... Quand je suis tombé sur ça.
Liz : Qui a fait ça ?
Franck : Fait quoi ?
Liz : C'est dans les potins de Page Six. "Quel membre du personnel de TGS a traité le big boss, Jack Donaghy, de crétin de première ?" "Donaghy est en lice pour la présidence de G.E., "mais un employé défiant, "a ajouté : "Je lui fais pipi à la raie." Qui a dit ça ?
- Pas moi.
- Pas moi.
- C'était pas moi.
- Je bossais pas ce jour-là.
Jonathan : M. Donaghy souhaiterait vous voir immédiatement.
Liz : Y a intérêt que ça n'ait pas de rapport car je ne porterai pas le chapeau !
Franck : Ça sent le roussi. À en perdre son job.
*Préparez-vous pour la nuit de télévision la plus dingue...de votre vie.*
Générique
Liz : Super, il va me hurler dessus. Qu'est-ce qui se passe ?
Pete : Le final de Milf Island. Et je vais le regarder seul dans mon bureau.
Liz : C'est sinistre, Pete.
Pete : Il va tomber ! Liz, je vais manger gratos. C'est un Gerblé. Qui n'aime pas les Gerblé ? Quelqu'un là-haut a changé d'avis sur le vieux Pete Hornberger. Je suis coincé !
Bureau de Jack
Jack : Vous vous rappelez ? Deborah et Shauna s'affrontent dans la crique de l'Érection.
Liz : Pas vraiment. Je ne regarde pas l'émission.
Jack : Deborah est surprenante. Vous connaissez son histoire ? Avant Milf Island, c'était une actrice en galère à L.A.
Liz : C'est impressionnant. Elle a l'étoffe d'une star.
Jack : Vous devriez la rencontrer.
Liz : Minute, vous m'avez appelée pour ça ?
Jonathan : Sumner Redstone est au téléphone pour vous féliciter.
Jack : Je rappellerai. Les appels n'ont pas arrêté. Milf Island est énorme. Je devrais sortir fêter ça, mais j'attends un appel de Don Geiss. Possible qu'il m'appelle "mon Jackie" ? Alors, direction la crique de l'Érection.
Liz : Félicitations, Jack. Vous devez être très fier.
Jack : Quand vous verrez Deborah, demandez l'imitation de chauffeur de taxi indien. Elle est vraiment douée.
Liz : Et pourquoi la rencontrerais-je ?
Jack : On développe un spin off, et j'ai pensé que vous pourriez l'écrire.
Liz : Non merci ! Je ne veux rien avoir à faire avec Milf Island. Cette émission tire les gens vers le bas.
Jack : Les critiques disaient pareil pour Shakespeare.
Liz : Shakespeare n'a jamais eu de douche confessionnal sponsorisée par Dove.
Jack : Donc vous avez regardé l'émission. Et pourquoi pas ? Ça réunit sexe, mensonges, puberté, trahison, courses de relais. Milf Island reflète l'émotion de l'expérience humaine. N'est-ce pas l'essence de l'art ?
Liz : Bouffer des bestioles pour gagner des tampons n'est pas...
Jack : Épisode 9, 22 m. de téléspectateurs.... de l'art.
Liz : L'interprétation, oui. L'écriture est un art. Ce que nous faisons aussi.
Jack : Très bien. Ne vous dérangez pas. J'y ai vu l'opportunité de vous faire une montagne d'argent.
Liz : Ben, non merci. Je suis intègre. Passons, s'il n'y a rien d'autre, je vais...
Jack : En fait, il faut s'occuper de la débâcle dans Page Six. Si on google "crétin de première" mon nom apparaît en 1er. Alors dégage, Randy Quaid.
Liz : Désolée que vous l'ayez vu.
Jack : Ça tombe mal, professionnellement.
Liz : Je trouverai le coupable. Par la force s'il le faut.
Jack :Voilà le plan. On va les pousser à bout. Et voir qui craque le 1er.
Liz : Jonathan !! Rassemblez ces imbéciles...Hé, les gars.
Franck : Il est au courant, pas vrai ?
Liz : Oui, et il n'est pas content.
Josh : Il pense que c'est moi ? Il a parlé de moi ?
Liz : Non, je pense que t'es écarté car il a oublié que tu existais.
Franck : Allez, ça va durer longtemps ? Nos pizzas sont en bas, et le conseil allait faire enlever son haut de bikini à une des 4 milfs.
*Zalutha... vous restez avec nous. Heidi... nous ne voulons plus revoir ça. Partez de Milf Island !*
Lutz : Je peux pas allez chercher les pizzas ?
Jonathan : Vous devez rester là au cas où M. Donaghy vous appelle.
Liz : Celui qui a fait ça doit cracher le morceau. Je peux vous protéger. Mais je dois savoir qui c'est. OK, tout le monde sauf moi, fermez les yeux. Le coupable lève la main. Très mature, les gars ! Débrouillez-vous seuls.
Kenneth : Mlle Lemon, je peux vous parler ?
Franck : Lutz, viens là. On devrait former une alliance.
Lutz : Une quoi ?
Franck : Une alliance. On est les deux plus gros crados. Ils vont essayer de nous accuser.
Lutz : Je ne crois pas donner cette image.
Franck : Si. Toi et moi. Deux gros losers pervers.
Lutz : Ma belle-soeur m'a fait changer de look. Je pensais...
Franck : Non.
***
Pete : Besoin d'aide ! Ma chemise est prise dans ce qui semble être un mécanisme... très coupant. Peut-être que si je la retire...
***
Liz : Qu'y a t-il, Kenneth ?
Kenneth : Je pensais à cet article dans le journal, et quelque chose cloche.
Liz : Comment ça ?
Kenneth : Je sais que Toofer n'aurait jamais dit "pipi" donc ce n'est pas lui. Et ça ne peut être Franck, il était avec moi toute la journée, à se moquer de ma coiffure. Et aussi, je vous ai vue le faire.
Liz : Comment ça, tu m'as vue ?
Kenneth : Hier, au rez-de-chaussée.
Flashback
Tracy : Je vais rater l'émission cette semaine. Jack m'envoie faire du stand-up à Dubaï. Je vais faire des blagues belges. C'est tout nouveau pour eux.
Liz : Non Tracy, tu peux pas faire ça.
Tracy : Blâmez Jack, pas moi. C'est avec lui que je partage les 3 millions. C'est toi et Jack Donaghy qui me donnez de l'acné au menton !
- Vous travaillez pour Jack Donaghy ?
Liz : Ce crétin de 1ère ? Malheureusement.
-Ça doit être dur d'être aux ordres d'un gars comme ça ?
Liz : Je ne suis pas à ses ordres. C'est un idiot. Il ne sait pas s'y prendre. Je lui fais pipi à la raie. Vous bossez ici aussi ?
-Je suis journaliste en ragots d'entreprise pour le New York Post.
Kenneth : Vous avez demandé s'il était célibataire et il a dit, "c'est pas important" mais vous...
Liz : Très bien, tu m'as eue ! C'est moi. Mais ce coup-ci je ne trinquerai pas. J'ai trop souvent porté le chapeau pour ma stupide équipe.
***
Franck : Quelqu'un a monté le chauffage ?
Jonathan : Aucune idée. D'où je viens, la température importe peu.
Franck : Intéressant. Je ne savais pas qu'il faisait chaud en Trouducuslavie.
***
Liz : J'ai un droit à l'erreur.
Kenneth : Mais ce n'est pas juste.
Liz : Mais Jack et moi sommes amis. Ça foutrait tout en l'air si ça se savait. Et si j'avais bousillé ses chances d'obtenir cette promotion ? Ça m'attristerait tellement si je me faisais attraper.
Kenneth : Mais vous n'êtes pas censée mentir.
Liz : Sale tête d'oeuf ! Très bien, je vais lui dire. Prie pour moi.
***
Pete : Vraiment ? Tout le monde regarde la TV ? Il me faut juste 4 chiffres. Pour joindre quelqu'un dans le bâtiment. N'importe... quels... chiffres. Hornberger !
‘Bonjour, Pete Hornberger de TGS. Laissez un message.’
Pete : Ahhhhhhhhhhhhhhh !
Bureau de Jack
Jack : Un crétin de première.
Liz : Comment allez-vous ?
Jack : Je peux me confier à vous comme jamais auparavant ?
Liz : Je préférerais pas.
Jack : Enfant, je bégayais atrocement. Et ça me gênait tellement que je parlais rarement en cours.
Liz : Vous bégayiez ?
Jack : Rien ne sortait. Inutile de dire que j'étais l'objet de railleries. De par mon silence, ils ont supposé que j'étais stupide, et le système éducatif du Massachusetts m'a qualifié de... crétin... de première. Le bégaiement s'est tellement intensifié qu'on m'a mis dans une classe spéciale située dans la chaufferie. Mon unique camarade s'appelait Gilly. Enfant, il est tombé à travers la glace et fut déclaré mort pendant 57 min. On apprenait à balayer la sciure pour trouver un travail à l'usine.
Liz : Je suis sûre que celui qui a dit ça dans le Post n'avait pas idée...
Jack :Évidemment, j'ai surmonté ce bégaiement dans 3 langues. Je suis entré à Princeton, Harvard, le sommet du monde des affaires. Je pensais en être débarrassé,mais tout ça... fait ressortir d'anciens sentiments.
Liz : Vraiment désolée.
Jack : Je suis de retour dans la chaufferie, je fais des petits tas de sciure, alors que Gilly se tripote dans un coin. Pardon, vous vouliez quelque chose ?
Liz : Je voulais juste vous dire... que j'ai réduit les pistes à Toofer ou Frank.
Jack : Merci.
***
Franck : Bon Dieu, je suis affamé.
Jonathan : C'est à Jack !
Cerie : Allez les gars. Que le coupablepasse aux aveux et qu'on sorte de là.
Franck : Pourquoi tu regardes moi et Lutz ?
Cerie : N'importe quoi.
Franck : Je crois que Lutz pourra te dire que je suis innocent.
Lutz : Certainement pas, mec.
Franck : Frack, alors ! On était l'alliance des crados !
Lutz : Je suis pas un crado. C'est du Celio, ça !
Toofer : Vous avez formé une alliance ? Cela suggère fortement la culpabilité.
Franck : C'est montrer les gens du doigt qui te rend suspect, à mon avis.
-Merci, Judas.
-Je croyais qu'on avait un accord.
-On s'en fiche
-que tu sois allé à Harvard !
*Debra, quelle fut pour vous la partie la plus difficile ? Je serais tentée de dire... les défis physiques. C'est vrai, on est fatigué, on a faim, on veut rentrer à la maison. Mais on cherche au fond de soi et on trouve une force insoupçonnée. Un de mes implants a explosé et j'ai même pas demandé à descendre de la catapulte. Les garçons, il ne reste plus que deux milfs. Mais l'une d'elles va rentrer à la maison. Et la révélation en sera faite... après 3 autres coupures pub.*
Jack : Deborah a si bien joué le jeu. Même si elle perd, l'Amérique en voudra encore. Un talk-show peut-être.
Liz : Je ne travaillerai pas dessus.
Jack : Jonathan, montez le chauffage et envoyez-moi Kenneth. On va s'informer à la source.
Liz : Il ne saura rien.
Jack : Tu es les yeux et les oreilles de TGS. Donc Liz et moi espérions que tu pourrais nous aider à coincer la personne qui a dit ces choses blessantes sur moi.
Kenneth : Monsieur, je suis convaincu qu'elle... ou qu'il regrette son erreur, et souhaite s'amender.
Jack : Je l'espère fortement.
Jack : Tu as des noms en tête ? Kenneth, il me faut une réponse.
Kenneth : Tout ce stress me donne une forte envie de dormir.
Jonathan : Monsieur, il y un appel sur la 2 que vous devriez prendre.
Jack : M. Geiss, je... Bonjour, Vice-Président Cheney. (à jonathan) Je vais vous tuer. Oui, j'espère aussi que Deborah va gagner. Non, ce ne sont pas des vrais, malheureusement.
Liz : Sors d'ici !
Kenneth : Vous ne lui avez pas dit, je rêve !
Liz : Écoute-moi M. Parfait, ferme ton robinet à niaiseries ! Pas question de me faire choper. Je vais lui dire que c'est toi. Il croira qui à ton avis ? Je suis quelqu'un d'important, ici.
Kenneth : Mlle Lemon, vos yeux ressemblent à ceux de mon oncle quand il buvait le liquide du climatiseur. Je nous croyais amis.
Liz : Je ne suis pas ici pour me faire des amis. Je suis ici pour être la numéro un !
Tracy : J'y crois pas, ils ont mis tes mots dans le journal.
Liz : Comment tu sais ça ?
Tracy : C'est Cathy, la BD ! Ça reprend exactement ce que tu as dit l'autre jour. Chocolat, chocolat, chocolat ! Si tu veux les poursuivre, je connais un bon avocat ! Il m'a lavé tous les soupçons l'année dernière.
Kenneth : La vérité sortira du placard. Comme mon cousin Steven après sa fac de musique, elle sortira du placard.
*Restez avec nous, pour vivre un incroyable rebondissement final.*
Liz : Ta gueule !
***
Liz : Jack, il est presque 23h. Si vous laissiez tout le monde rentrer et passer une bonne nuit ?
Jack : Ils m'appelaient le requin-bafouille.
Liz : Quoi ?
Jack : Les gosses à l'école. Ils m'insultaient. Mme Bafouille, le bébé Gayeur... crêpe au beubeurre. Le beurre leur a donné pas mal d'idées.
Liz : Gamine, je portais des chaussures orthopédiques.
Jack : Ah bon ? Je suis née malformée, avec un pied de bébé en plus, au bout de mon vrai pied. On pensait que j'avais dû manger mon jumeau. Suite à l'opération pour l'enlever, je marchais les pieds en dedans. Donc pendant toute ma primaire, j'ai dû porter un appareil de marche relié... à ma tête.
Jack : Gilly a rongé son appareil, lui.
Liz : Je veux dire, j'ai survécu. Ça m'a rendue meilleure, et c'est pareil pour vous. Tout ça, votre réussite, c'est grâce à ce certificat. Il vous a façonné. Et ce n'est pas une mauvaise chose.
Jack : Merci, Lemon. Regardez. Le dernier conseil commence. Deborah a l'allure d'une reine.
***
Franck : C'est peut-être toi !
Cerie : Pourquoi moi ?
- C'est tellement débile.
- Tu connais des gens chez Page Six !
-Je vous déteste tous !
-De la discipline ! J'ai dit !
-Ne soyons pas irréfléchis.
Tracy : Nous devons nous divorcer de nos préjugés, et faire appel à notre faculté de raisonnement. Voici la banane de la parole. Tout le monde parlera et ensuite seulement, prendrons-nous notre décision. Josh, mon ami, tu commences.
Josh : Je ne ferais jamais ça, car je suis fidèle à l'émission.
- Ce mec est coupable !
- J'en étais sûr !
-Regardez ces yeux clairs. Effrayants comme ceux d'un loup !
Liz : Moins fort ! Pourquoi t'es encore là ?
Tracy : Ça me plaît ici. Il fait chaud, y'a du bruit, pas de pizza. On dirait Miami.
Josh : C'est peut-être Liz la coupable.
Liz : Tu te fiches de moi ? Après toutes les fois où je vous ai défendus et couverts, comment oses-tu m'accuser ? Demande-moi pardon, tout de suite.
Josh : Pardon. Ne pleure pas, s'il te plaît. Ça me fait bizarre.
Kenneth : Je ne peux pas en supporter plus. Je vais mettre un terme à tout ça.
Liz : Mais... mais... mais...
Kenneth : M. Donaghy, c'est moi. J'ai dit toutes ces vilaines choses dans le journal, monsieur.
Jack : Kenneth, toi ?
Kenneth : Je n'en pouvais plus de mentir. Car tout le monde sait que le poids du mensonge alourdit tant votre âme que vous ne pouvez monter au paradis. Et en jeans, vous êtes moche de dos.
Jack : Mais pourquoi, Kenneth ? Pour t'avoir fait travailler tard hier ?
Kenneth : Oui, monsieur. C'est ça. J'ai plié des tee-shirts Milf Island jusqu'à 2h du matin. Et vous ne m'en avez même pas offert. Il va sans dire que j'ai maugréé contre vous à qui voulait l'entendre.
Jack : Je ne sais que dire, Kenneth. Tu as nui à l'émission et à toi-même. Tu as peut-être ruiné mes chances de diriger cette société. Et inutile de dire que tu m'as personnellement blessé. Lemon, quelque chose à ajouter ?
Lemon : Tu me dégoûtes.
* Voilà, c'est fini. Deborah l'emporte ! Elle a tellement bien joué. Elle a été manipulatrice, menteuse. Elle a eu un méchant staphylocoque. Mais ce soir, Deborah est notre vainqueur.*
Bureau de Liz
Liz : Jack, que faites-vous ici ?
Jack : Geiss m'a appelé.
Liz : Tant mieux.
Jack : Je ne l'ai jamais entendu aussi heureux. Il m'a appelé "mon Jackie". Et Deborah explose les chiffres dans toutes les meilleures catégories. Mamans gâteaux, pères sportifs, cadres pervers, et les obèses.
Liz : Félicitations.
Jack : Je reviens de loin depuis ma crise cardiaque, hein ? La place de Geiss est pour moi. il y a juste une chose qui me gêne. L'histoire de Kenneth ne colle pas.
Liz : Un peu de pizza ?
Jack : Kenneth dit avoir plié des tee-shirts jusqu'à 2h du matin. Mais le Post met sous presse à minuit. Même s'il avait rencontré un journaliste dans l'ascenseur, c'était trop tard.
Liz : Vous savez, ce type est immonde.
Jack : Ça aurait dû être la meilleure soiréede ma vie, mais je n'en profite pas. C'est que ça me t-t-tue qu'on puisse dire ça sur moi.
Liz : Je suis sûre que le coupable ne vous voulait pas de mal. Et c'était sans doute Toofer.
Jack : Non, ils voulaient me blesser. Ils me prennent pour un crétin, comme Gilly et les autres.
Liz : Même Gilly se moquait de vous ?
Jack : Vous savez, c'est drôle. Je...ppppp-pense que je ssssss-serai tttttt-toujours ce...
Liz : C'est moi ! Je l'ai dit ! Je n'en pensais pas un mot. Désolée d'avoir dit que je vous faisais pipi à la raie. C'était moi.
Jack : Je sais. Je voulais juste vous le faire admettre. Et vous savez comment vous allez vous rattraper, hein ?
Liz : Oh, non. Je vais écrire la série de Deborah.
Jack : Elle veut chanter dans chaque épisode.
Liz : Vous saviez. Comment ?
Jack : Pas d'onion rings ? Je leur fais pipi à la raie ! Vous le dites plus souvent que vous ne pensez. Donc, vous paraphez là, et vous signez ici et ici. Je dois admettre, je ne pensais pas vous coincer. Le bégaiement, le certificat, Gilly.
Liz : J'ai moi aussi tout inventé pour le pied de bébé. J'ai tout inventé. Pour vous réconforter.
Jack : Je vous raccompagne. Talon, pointe, Lemon, talon, pointe.
*Ne zappez pas. À suivre : On a Échangé Nos Chiens ! *