30 Rock
Episode 213 – Succession
Retranscrit by Maluzo pour 30RockHypnoSeries
© NBC
Bureau de Jack
Jack : M. Geiss, je suis désolé, je viens d'apprendre que vous étiez là. Je forcerais bien mon assistant à s'asseoir sur un truc pointu s'il n'aimait pas autant ça.
Don : Pas de problème. J'admirais votre couverture de Bulb.
Jack : Merci, donnez-vous la peine... Tout va bien ?
Don : C'est mon diabète. J'ai sans arrêt des vertiges, je n'y vois plus rien.
Jack : On se fait tous vieux.
Don : Comme vous dites. Ma fille chérie se marie. Elle et son fiancé sont de sortie, pour choisir des arrangements floraux.
Jack : Vous aurez un gendre charmant. Banks ferait n'importe quoi pour cette société.
Don : Je sais qu'entre vous deux le climat est tendu. Voilà presque un an que vous rivalisez pour ma place. Tenant bon là où tant d'autres craquaient sous la pression. Comme Bob Duncan.
Jack : Le patron de la division des balles antistress s'est pendu.
Don : Revenons-en à vous et Banks. Cette décision était difficile Jack. Banks va rejoindre ma famille.
Jack : Je comprends monsieur.
Don : Mais je ne dirige pas une famille, je dirige une société, donc... Je vous choisis vous. Félicitations, vous allez diriger cette société.
Jack : Mon Dieu ! Merci, je m'étais juré de ne pas faire ça. Jour béni !
Don : Ça va Jack ! On peut pleurer une fois par vie, vous choisissez bien !
Jack : Quand cela sera-t'il rendu public ? Ma mère doit savoir avant de mourir, pour être enterrée en femme vaincue.
Don : Nous sommes les seuls à savoir. Je dois présenter ça au conseil. Vous devez mettre en selle votre successeur.
Jack : J'ai déjà une shortlist.
Don : Un conseil,celui que vous choisirez devra avoir votre confiance.
Jack : Voilà qui élimine la Réserve Fédérale.
Générique
Salle des scénaristes
Franck : Tu veux que j'y fasse quoi, Liz ?
Liz : Pauvre idiot avec ta tête de crétin ! On dirait le bâtard de Gene Simmons et d'un basset.
Franck : Pas cool, c'est ta faute.
Liz : C'est ma faute si on bosse toute la nuit, et que tu perds le script entier, en téléchargeant un virus sur mon ordinateur ?
Franck : Premièrement, le sujet du mail était "Mate-moi ça". Et tu voudrais que je l'ouvre pas ? Deuxièmement, c'est ta faute, car si t'avais pas créé ce show, on serait même pas là !
Lutz : Liz craint !
Liz : Vous pensez que je voulais atterrir ici ? J'avais des rêves ! Je comptais vivre avec les gorilles !
Loge de Tracy
Kenneth : C'est un huit de carreau.
Grizz : Non.
Tracy : Écoutez-moi, je suis inconsolable.
Dotcom : Il y a quoi, Tray ?
Tracy : Tracy Junior a oublié son bâton musical à la maison.
Dotcom : Sa flute.
Tracy : Donc, je lui apporte à l'école et devinez ce que je découvre.
-Excusez-moi, je...
Dotcom : Il ne t'a pas invité à la journée des pères ?
Kenneth :Qu'avez-vous fait ?
Tracy : Si je suis un si mauvais père, pourquoi est-ce qu'on danse tous ? Mon propre fils a honte de son père. C'est horrible.
Kenneth :On sait tous que la seule chose dont on doive avoir honte, c'est son corps.
Tracy : Ils me prennent pas au sérieux, car je fais le clown pour vivre. Je dois faire un truc important. Histoire que mes enfants me respectent. Devenir sénateur ou magicien.
Dotcom : Ou tu pourrais ouvrir une école en Afrique, comme Oprah.
Tracy : Calmez-vous tous. Et trouvez-moi une idée. Quelque chose qui changera le monde. Eureka !
Grizz : Qu'est ce qu'il y a ?
Tracy : On devrait appeler Eureka, elle a toujours de bonnes idées.
***
Jack : Lemon, vous êtes là ?
Liz : Je lis une étude de chercheurs sur les gorilles pour un sketch se moquant d'eux. Pour avoir dévoué leur vie à la jungle et à ses nobles habitants.
Jack : Je veux partager un secret avec vous. J'ai parlé avec Don Geiss. Dans quelques jours, sera annoncé officiellement... que je suis le prochain président de GE.
Liz : Mon dieu, félicitations !
Jack : Une étreinte... Comme c'est ethnique. Et si nous... Je dois encore être approuvé, mais... C'est une formalité. Geiss a rempli le conseil de la plus fiable collection de lèche-bottes, en dehors d'un séance de dédicace d'Al Franken. Ses amis de golf, ses potes d'armée, plusieurs chômeurs de la famille, et ses chiens de chasse. Le conseil ne sera pas un problème.
Liz : Encore toutes mes félicitations.
Jack : Pourquoi je sens l'autobronzant et le blanchisseur dentaire ? Banks.
Banks : Salut Jack.
Jack : Devon. Depuis le casting de Clay Aiken pour Spamalot, je savais que vous pointeriez vite votre nez.
Banks : Quand je vivrai ici, à la tête de la société, j'irai le voir chaque semaine. Jusqu'à la fin de Spamalot. Ou son départ de la pièce. J'oubliais, j'enterre ma vie de garçon demain soir.
Jack : Vie de garçon ?
Banks : C'est ça. Les plus chaudes filles du meilleur club de New York enlevant leur brassière. J'aimerai apprendre à connaitre mon nouveau foyer donc... J'organise la fête sur le plateau de TGS.
Liz : Sur mon plateau ? Pas question.
Banks : Oh, salut p'tit bonhomme.
Liz : Comment ça ? On a répétition. Il ne peut pas...
Jack : Non, le plus important est de savoir à qui faire confiance ou pas. Et on ne peut pas lui faire confiance.
Liz : Qu'est-ce qui vous inquiète ? Vous avez le poste.
Jack : Il n'a pas dit son dernier mot. La partie continue... et personne ne joue aussi bien que Banks. Restez loin de lui, petit bonhomme.
Loge de Tracy
Tracy : Ensuite tu mets le gaz carbonique, et tu bois !
Kenneth :Ça ressemble au soda.
Tracy : Pourquoi c'est si difficile de laisser à ses enfants un héritage éternel ?
Kenneth :Ça fait presque une demi-heure. On devrait faire un break, M. Jordan.
Tracy : Oui, je dois reprendre mes pensées. Auquel de mes passe-temps préférés dois-je me consacrer ? Jeux vidéo ou pornographie ! CUISSE ÉPAISSE / JEU DE GUERRE DE MORT C'est ça ! Créer un jeu vidéo porno !
Dans l’ascenseur
Banks : Salut, Liz. C'est bien Liz ? Où est votre ami Jack ? Il fait ses valises ?
Liz : Je ne sais rien à propos de Jack, vous perdez votre temps.
Banks : Donc vous ne savez rien à propos de lui vendant par erreur NBC à des Allemands ?
Liz : Non.
Banks : Vraiment ? La rumeur dit qu'il aurait essayé de créer une spirale de la mort. Augmenter la valeur de la société, vendre ses parts et ramasser le pactole.
Liz : Quoi ? C'est complètement faux. Jack était loin de cette réunion. Il n'était même pas à New York, il était parti avec sa petite amie en me laissant le pouvoir, alors prends ça...
Banks : Liz... Mon Dieu. C'était si facile. Comme prendre un bonbon à ces gars offrant des bonbons dans les boites gay.
Liz : S'il vous plaît, ne dites rien. Je vous offrirai Kenneth.
Banks : Aussi attirant que cela soit, je suis hétéro maintenant. Et je pense que mon futur beau-père doit tout savoir sur cette erreur fatale de Jack.
Liz : Alors, il devra aussi tout savoir sur la cassette de vidéosurveillance où vous trompez sa fille avec une autre femme.
Banks : Quoi ? Mon Dieu !
Liz : T'as adoré ça !
***
Franck : Un jeu vidéo porno ? Impossible. Écoute, les plus grands pervers de l'histoire ont essayé. Walt Disney, Larry Flint, les Japonais, mais ils ont échoué à cause de l'Étrange Vallée. Laisse-moi te montrer un truc. Regarde ce graphique. Quand les représentations artificielles de l'homme, deviennent de plus en plus réalistes, vient le moment où elles cessent d'être attachantes pour devenir flippantes.
Tracy : Explique-moi ça en Star Wars.
Franck : Alors, on aime R2D2 et C3PO. Sympas. Et là nous avons une personne réelle comme Han Solo.
Tracy : On dirait qu'il se fout de tout, mais en fait non.
Franck : Mais là en bas, il y a un Garde Impérial,
ou Tom Hanks dans Le Pôle Express.
Tracy : J'ai peur ! Sors-moi de là !
Franck : Voilà le problème.
Tu es dans la Vallée, et impossible d'en sortir.
Tracy : Là, tu as tout faux. Je suis né pour créer un jeu vidéo où les héros font des choses douteuses pour marquer des points. Mon génie ne sera pas contesté. Je suis comme Mozart. Tu es ce mec toujours jaloux de Mozart.
Franck : Salieri ?
Tracy : Non merci. J'ai déjà mangé. Tu ne me dissuaderas pas. Le monde se souviendra du nom Tracy Jordan.
Bureau de Jack
Jack : Bien joué Lemon.
Liz : Pour tenir le coup, j'ai imaginé un sandwich.
Jack : C'est bon de vous avoir à mes côtés.
Liz : C'est ça, je surveille vos arrières.
Jack : Lemon, où vous voyez-vous dans cinq ans ?
Liz : Réalistement, enseignant l'impro sur des croisières.
Jack : Lemon, je vous promeus à la tête de : Télévision Côte Est et Programation Micro-ondes.
Liz : Quoi ? Depuis quand avez vous récupéré les micro-ondes ?
Jack : Vous serez mon successeur.
Liz : Non, je ne suis pas un cadre. Un cadre c'est genre... Et je suis genre... Enfin, je suis une créative. Bien sûr, mon travail est parfois frustrant, comme quand Lutz est en arrêt maladie pour March Madness, mais globalement j'aime ça.
Jack : Voilà le salaire de départ.
***
Liz : Dans vos faces ! Je deviens dirigeante !
***
-On dit que le conseil se réunira dans la semaine. Geiss va bientôt faire son choix.
Jack : Je ne sais rien à ce sujet.
Liz : Les gars, passons au sujet : "je crains au golf", Donaghy aura de la matière. Désolée. Je suis un peu nerveuse.
Jack : Inutile. Vous avez ça dans le sang.
Liz : Je me sens pas mal ivre.
Jack : Ivre Business, c'est comme Ivre Riche. Pour les deux, c'est légal de conduire.
-Bien, Messieurs, mettons-nous au travail.
Liz : Tu crains, Stan !
Jack : Vous le savez, on a englouti un tas d'argent pour développer ce nouveau bouton Start pour micro-ondes. Quatre ans et 10 millions de $. Je pense qu'il est temps de se décider. Votre opinion ?
Liz : J'aimais bien l'ancien bouton.
Jack : Bouton Classique. J'adore.
- Bouton Classique ? Branché et terroir.
-Bon sang les gars. On se balade !
Jack : Votre première décision de cadre, et vous économisez déjà à la boîte deux millions en R&D.
Liz : Mais si j'ai tort ?
Jack : Le tort n'existe pas. Vous devez juste trouver un subalterne sur qui rejeter la faute. Voilà pourquoi j'adore Jorgenson. Je crois que vous êtes prête à rencontrer le grand chef.
Liz : Offrez-moi au moins à diner d'abord.
- Du grand Lemon !
Loge de Tracy
Kenneth :Je ne vous ai jamais vu ainsi M. Jordan. Ce projet vous dévore.
Tracy : Non, pour la première fois de ma vie, je connais mon but. Je le fais pour mes enfants. Mon génie a pris vie, comme les jouets quand on tourne le dos. Je vois du potentiel érotique dans tout ce qui m'entoure. Cette tasse, cette table... même toi, Kenneth.
Kenneth : Eh bien, je porte un pantalon à revers aujourd'hui.
Pete : Tu fais quoi ? Ils t'attendent à l'habillage.
Tracy : J'invente un jeu vidéo porno.
Pete : Laissez-le travailler ! Que personne ne le dérange !
Franck : Détends-toi Pete. C'est impossible. Sinon je l'aurais fait depuis longtemps. Oui, je l'aurais fait.
***
Liz : Salut les nases, devinez qui a 2 pouces, parle mal français, et n'a pas pleuré de la journée ? Moi.
Pete : Tu ne peux pas envisager de partir avec Donaghy. Comment tu peux m'abandonner ?
Liz : Non, je vais te promouvoir hors d'ici. Tu deviendras cadre !
Pete : Je ne veux pas être cadre.
Liz : Voilà ton salaire de départ.
Soirée de Banks
Jack : Je vous présente Liz Lemon.
Don : La fille à l'initiative de la campagne du Bouton Classique ?
Liz : C'est moi !
Don : Où est-ce que Donaghy vous cachait ? Mon taux de sucre s'effondre. Liz, vous pourriez me ramener quelque chose de la table des desserts ?
Liz : Bien sûr, mais je vous préviens, je marche au pourboire.
Don : Vous avez le charme d'une jeune Leona Helmsley.
Loge de Tracy
Franck : Est-ce que... Il a fini ?
Kenneth : Pas encore, mais ne le dérange pas. Il ne peut pas continuer ainsi. Debout 6 heures d'affilée.
Franck : Mon dieu. C'est un génie.
Soirée de Banks
Liz : Matez-moi ce loser, assis, seul et triste. Il est comme le moi d'hier. Je le hais. Je ne sais pas.
Jack : Je commence plutôt à plaindre ce pauvre type.
Liz : Vous avez vos règles ? Tenez ! (elle lui donne un tampon) Ivre Business ! Un autre jus de business ! C'est vrai, Geiss !
Jack : Vous appréciez la fête ?
Banks : Bien sûr que oui. J'ai vraiment hâte de renvoyer à Cathy toute cette énergie sexuelle.
Jack : Banks, ne faites pas ça. N'épousez pas Cathy. Ça ne vaut sans doute pas la peine.
Banks : Pourquoi ça ? Nous sommes faits l'un pour l'autre. Elle aime que je fasse de l'exercice et que je parle aux gens. Et j'adore qu'elle aime se faufiler dans les armoires et les conduits et tous les espaces confinés. Comme derrière le séchoir.
Jack : Vous n'aimez pas cette femme. Regardez-vous, effondré à votre propre fête.
Banks : Ça n'a rien à voir, pauvre idiot. J'épouserais 1000 Cathy Geiss pour être PDG. Je suis effondré, car je sais que je ne le serai pas. Geiss m'a dit que ce sera vous, Jack. À mon propre enterrement fictif de vie de garçon.
Liz : M. Geiss, désolée d'avoir mis si longtemps. M. Geiss ? Blurgh !
Banks : Allez-y Donaghy. Mettez-moi le nez dedans.
Jack : En principe, j'aurais dit, "Vous aimeriez bien" mais pas aujourd'hui. Je suis la seule personne à comprendre à quoi vous étiez prêt pour ce boulot. Et à quel point vous êtes dévasté de ne pas l'obtenir.
Banks : C'est comme quand Christian a gagné Project Runway même si Rami était le meilleur drapier. Bon sang. Je dois annuler ce mariage.
Jack : Devin, Je veux que vous sachiez... Je vous hais-respecte.
Banks : Moi de même.
***
Liz : Jack Je crois que Geiss est mort.
Jack : On doit appeller le Dr Spaceman.
***
Tracy : Le duo devient trio. Le trio devient quartet. Et ainsi de suite. Tu l'as ?
Franck : Tu vas trop vite ! J'ai dédié toute ma vie au porno et il le fait en un jour ! Un... jour !
***
Jack : Qu'est-ce qu'il a Leo ?
Léo : Eh bien, pour l'oeil profane, il semblerait faire ce que les médecins appellent "dormir". Mais il est en fait, en coma diabétique, qui aurait pu être évité par ce que nous appelons "manger".
Jack : Faites votre possible, Leo. Il doit se réveiller.
Léo : Voilà la partie sordide. On y est presque. On y est presque... Et zut ! Cette injection n'était qu'un placebo. J'espérais que ça soit psychologique. Il ne simule peut-être pas.
-Jack, vous avez vu Don ? Ça n'a pas l'air bon.
Jack : Pas de panique, Jorgenson. Tout est sous contrôle. Il doit juste dire une phrase. Pourriez-vous... lui injecter un truc dans le coeur ?
Léo : J'adorerais, mais il n'y a aucun moyen de savoir où se trouve le coeur. Chaque être humain est différent.
- Jack.
Jack : Don ne se sent pas bien. Il est en coma diabétique.
Léo : Peut-être simulé.
- C'est arrivé comment ?
Liz : C'est la faute de Jorgenson !
- Ben voyons.
Jack : Tout va bien, je prends les rênes. Hier, j'ai rencontré Don et il m'a dit que j'étais son successeur. Donc je suis le PDG.
-Jack, si c'est une prise de pouvoir, c'est de très mauvais gout.
Jack : Il l'a dit. Je devais le garder secret.
Liz : C'est vrai. Je l'ai appris par Jack.
Jack : Banks ! Banks sait. Il pourra confirmer.
Banks : Jack, je ne sais pas de quoi tu parles. Papa ! Papa, non !
Léo : C'est le 412 ou le 112 ? New York. Réparation diabétique, je suppose.
***
Liz : Jack, je sais que vous m'en voulez.
Jack : Lemon, je ne vous en veux pas.
Liz : Écoutez, TGS, c'est ma vraie place. Je ne suis pas faite pour être cadre.
Jack : Sottise. Bien sûr, vous avez failli tuer Geiss. Mais n'oublions pas, Bouton Classique.
Liz : Vrai, Bouton Classique. J'ai assuré.
Jack : On a eu une journée contrastée. C'est le business. Le conseil se réunit ce jour et je suis le meilleur candidat. Quand j'aurais présenté les choses, ils voudront surement exaucer le voeu d'avant coma de Don Geiss.
Liz : Super. Parce que je ne pense pas pouvoir retourner ça. J'ai été Malade Business dessus en rentrant chez moi.
Jack : Sortez de là, Banks. Je n'ai rien à vous dire avant cette réunion.
Banks : Alors, je parlerai pour nous deux.
Jack : C'est-à-dire Banks ?
Banks : J'y viens Jack. Il n'y a pas de réunion aujourd'hui. J'ai convaincu le conseil d'une réunion d'urgence cette nuit. J'ai appelé, mais pas au téléphone, alors vous n'avez peut-être pas entendu.
Jack : Devin, qu'avez-vous fait ?
Banks : Ce qu'il fallait pour la société. Je les ai convaincus qu'il fallait agir vite, anticiper la peur des investisseurs. Tout le monde était d'accord, que par souci de continuité, la main ferme de la famille Geiss devait rester à la barre. Bien sûr, Cathy aura besoin d'un guide, mais... son fiancé est là pour ça.
Jack : Non, c'est impossible.
Banks : C'est bel et bien possible. Maintenant, sortez de notre bureau. J'ai pas entendu le lavage de mains chérie…